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Le bruit des vagues

20 septembre 2007

Dernière lecture

Les racines du figuier
Lancar_charles_les_racines_du_figuier
Charles Lancar

Résumé :   
Cinq ans après l'indépendance de la Tunisie, une famille de Français, Juifs d'origine italienne, quitte le pays et débarque à Paris. Alors que Vito, l'un des enfants - journaliste à Tunis -, devient garçon de course, fait des ménages et rêve de l'academie française, Hugo, le père, renonce à son métier de coupeur de cuir et balaie les quais du métro tout en évoquant avec nostalgie les bruits et les odeurs de sa ville natale.
A Belleville où ils s'installent, Hugo et les siens font la connaissance de Mme Goldstein, l'unique Ashkénaze du quartier. Ainsi débutent les racines du figuier.

Citations :
« Il n’y a pas de fatalité à la médiocrité »
« (…) quelques fractions de secondes seulement séparent l’homme de la bête »
« Se dépêcher, c’est fuir le tourment, ou aller à sa rencontre ».

Mon sentiment
Un seul livre emporté dans mes bagages.
Juste celui-là.
Donc... pas renoncement possible, puisque je n'ai pas d'autre lecture.
Et décidément, non : je ne suis pas emballée. Je m'accroche. Je m'ennuie. Je vais mettre "tout ça" de côté. Après tout : il y a autre chose à faire que de lire, pendant ses vacances...
Et puis je me dis que non, je vais tenter encore une petite page, pour voir si finalement...
Vient alors un petit déclic, le moment espéré où l'histoire prend enfin un sens, où je suis surprise, parfois émue, voire même amusée. Les cultures se croisent, les personnages deviennent attachants. Et bien ! il en aura fallu, du temps !
Bon, si j'avais adoré Charles Lancar dans Café Crème, ici, il me déçoit, il tourne en rond. Je tenterai probablement un troisième roman pour me faire une opinion un peu plus claire...

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19 septembre 2007

Gardez

"Gardez les pieds sur terre,
mais laissez votre coeur s'élancer
aussi haut qu'il le désire."

[une citation d'Aiden Wilson Tozer]

ambiance_et_couleurs_de_fin_d__t_

Ambiance et couleurs de fin d'été
(photos prises à deux pas de la maison,
dont quelques-unes (et pas les moins originales) par Mathilde, 12 ans)
un clic sur la photo pour voir en grand.

18 septembre 2007

Recto verso

Des couleurs qui sentent déjà l'automne...
collier_recto_verso_feuillage

Un collier à adapter selon son humeur.

17 septembre 2007

Marée

>  Quand la marée monte,
il n'est plus important de savoir
à qui appartient le château de sable.

[une citation de José Artur
dans «  Parlons de moi, y'a que ça qui m'intéresse »]
La_mer_monte

16 septembre 2007

Les îles...

notre maison est entourée de champs de maïs
que nous ne mangeons pas
ou si peu.
Mathilde décide d'en cuisiner,
alors nous voilà en quête d'une recette,
et puis là : la révélation...

cr_me_au_mais_des_iles

La crème au maïs des îles !!!  (*) 600 g de grains de maïs doux cr_me_au_ma_s_et___la_noix_de_cocoen conserve (pour nous, un épi de maïs "cueilli" dans le jardin et "blanchi"...) - 6 cuillères à soupe de sucre - 1 boîte de lait de coco de 400 ml - une pincée de sel. mixer les grains de maïs (cuits) - ajouter le sucre et le lait de coco. - saler - faire cuire 20 minutes dans une casserole - servir dans des bols individuels.

(*) Ceux qui nous connaissent (bien) comprendront le jeu de mot... Les autres pourront tenter cette recette super simple et super bonne !

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15 septembre 2007

Blanc

blanc_nature

Le blanc ne fait rien comme les autres : il n’apparaît pas dans la gamme chromatique car il réfléchit la lumière alors que les autres couleurs la filtrent ; il la disperse par réfraction pour nous émerveiller de toutes les autres (par un arc-en-ciel)..
Pourtant, le blanc est très riche : il peut être brillant ou mat, léger ou saturé, lumineux ou terne, et dans la nature il est seul à se présenter uni et pur sous la forme de la neige.
C'est précisément cette richesse, sa difficulté particulière, qui a tenté de nombreux artistes.
(explications trouvées sur internet, ici)

14 septembre 2007

C'était pour "finir"

un petit bout de pâte
qui traînait par là...

collier_mokum__double_rang_perles

Collier et bague assortie en fimo (mokumé) et perles de rocaille.
Vues disponibles dans l'album n° 3 consacré à la polymère.

13 septembre 2007

Eblouissement assuré...

Si vous en avez l'occasion,
allez-y !
les aquariums y sont impressionnants...

oc_anopolis
(Océanopolis se trouve à Brest, dans le Finistère)

12 septembre 2007

Dernière lecture

Le non de Klara
aaron_soazig_le_non_de_klara
de Soazig Aaron

Résumé
Ce roman s'apparente à un document plus qu'à une fiction. La narratrice, Angelika, est l'amie et la belle-soeur de Klara, l'héroïne. Elle retrace l'impossible reconstruction de cette jeune femme. Survivante d' Auschwitz, Klara revient à Paris en 1945 après 29 mois de déportation. Dévastée sur le plan physique et psychologique, elle sait que sa vie n'a plus lieu d'être : elle se sent morte, perdue à jamais. Soucieuse du bonheur de sa fille Victoire, âgée de trois ans, Klara se refuse à lui faire subir ce qu'elle est désormais et elle décide de laisser son enfant à des proches. Sans retour possible cette fois... Un regard douloureux sur l'horreur de la Shoah.

Citations :
"Tous ceux que j'ai vu revenir, ceux en mauvais état, ceux qu'on ne reconnaît pas, justement, ils ont les yeux vides, vides, si vides qu'à force d'être vides, ils paraissent profonds".

"Il y a toujours ceux qui ont des pieds pour marcher sur ceux des autres qui eux en ont pour se les faire écraser. La même chose tout le temps".
"Nous étions lâcherisés ou couragisés, enfin tous ces mots qu'on peut inventer au passif, vivre au passif, en dehors de soi, un monde où le courage et la lâcheté servent à la même chose, où durer devient l'ignominie quand par hasard il reste une parcelle de lucidité pour s'apercevoir de cette chose-là".

Mon sentiment :
Difficile d'imaginer qu'il s'agit seulement ici d'un roman, tant ce récit semble vécu. Les pages que nous livre Soazig Aaron sont bouleversantes. Que Klara raconte, ou qu'elle se taise, son récit et ses non-dits laissent entrevoir la fragilité de l’âme humaine, quand l'homme devient un loup pour l'homme. Un vrai choc littéraire et humain, une page de l'Histoire encore tellement tangible...

11 septembre 2007

Breizh !

Quand mes sabots retombent
sur ce sol de granit (la Bretagne),

j'entends le son sourd, mat et puissant
que je cherche en peinture.

[une citation de Paul Gauguin]

rade_de_brest_berteaume

Hein ?
Mais non, j'suis pas chauvine !!!
(enfin si peu... Vous avez remarqué, d'ailleurs, la couleur du ciel ? Mmmmhhh ?
Alors ? Qui osera encore dire qu'il pleut tout le temps en Bretagne ?
Bon allez, ok, j'arrête... Mais quand même, comme il est beau, mon "pays"...)

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