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Le bruit des vagues
30 avril 2010

on prend le ciel et on le coud à la terre

Photo avril 2010
(reflets dans l'eau)

L'improvisation, c'est beau.
C'est comme attraper l'éternel par les cheveux.
On prend le ciel et on le coud à la terre."

Christian Bobin

Reflets001

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29 avril 2010

libre !

Il suffit à un homme enchaîné de fermer les yeux
pour qu'il ait le pouvoir de faire éclater le monde.

Citations de Octavio Paz

chaines

Photo avril 2010

28 avril 2010

refaire le monde...

La lecture, elle m’a apporté le courage de ne pas désespérer,
le plaisir de rêver éveillé, l’enthousiasme de refaire, de recréer le monde
sans jamais me décourager.

Jacques Salomé
dans "Je croyais qu’il suffisait de t’aimer"

108MarquePageBleuRecto

108MarquePageBleuVerso

Marque-page en pâte polymère

(pour le recto : technique du etching
pour le verso : empreinte avec ajout de pastel sec
patiné au klir et lustré)

27 avril 2010

la tête dans les nuages...

"Le bleu parfait n'existe pas dans la nature,
c'est toujours du bleu avec des nuages
ou du bleu avec un bateau dessus..."

(Jean-Marie Gourio)

Port_d_antibes

Photo avril 2010
(le port d'Antibes)

26 avril 2010

jeu de textures

Mmmhhh,
les bonnes salades que je vais mettre là-dedans !
Plat_en_terre_cuite__maill_e_ocre_et_craquel_

Création en terre cuite émaillée
(petit saladier)

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25 avril 2010

les îles

"Si vous voulez aller sur la mer, sans aucun risque de chavirer,
alors, n'achetez pas un bateau :
achetez une île !"

(Marcel Pagnol)

Cote_d_azur

Photo avril 2010
(Côte d'Azur)

24 avril 2010

ouvrir un livre

Ouvrir un livre,
c’est d’un même geste hisser la voile,
larguer les amarres de l’instant
pour agrandir l’espace et le temps

Jacques Salomé
dans "Je croyais qu’il suffisait de t’aimer"

109MarquePageOcre

Marque-page en pâte polymère
(toutes techniques)

23 avril 2010

dernière lecture : les yeux jaunes des crocodiles

de Katherine Pancol

PancolKatherineLesYeuxJaunesDesCrocodiles

Présentation de l'éditeur :
Deux soeurs. La quarantaine. Iris, belle, très belle, riche, élégante, parisienne. Autrefois étudiante brillante, elle s'est mariée, et sa vie se résume en un tourbillon vain. Iris s'ennuie, rêve de devenir une autre. Joséphine est une littéraire, historienne spécialisée dans l'étude du XIIe siècle. Beaucoup moins belle, beaucoup moins à l'aise dans la vie. Mariée, elle a deux filles, vit en banlieue et se bat pour tenir debout. Un jour, à un dîner, Iris prétend qu'elle écrit. Entraînée par son mensonge, elle persuade sa soeur d'écrire un livre qu'elle signera, elle. Abandonnée par son mari, acculée par les dettes, Joséphine se soumet. Elle est habituée : depuis qu'elles sont enfants, Iris la magnifique la domine. Le destin de chaque soeur va basculer.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Ai-je aimé ce roman ou non...

Mon sentiment est plus que mitigé : Katherine Pancol est de ces auteurs qui ont l'art et la manière de raconter. De magnifiques tournures de phrases, des personnages pleins de vie, en quête d'eux-mêmes et d'amour.

Mais aussi un certain nombre de longueurs, des personnages bien trop stéréotypés (les gentils et les méchants), une multitude de détails, des situations improbables. Nous voilà avec, entre les mains, 650 pages de vies entremêlées (on appelle généralement cela une « saga ») à la lecture facile.

Bon livre de plage où l'on passera de bons moments, mais aussi roman amplement contournable...

Je ne lirai pas la suite...

Morceaux choisis :
"Les femmes ont si bien appris à être fortes qu'elles se sont cuirassées".
"Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il  ne faut pas les laisser passer".
"Quand on est amoureux, quatre vingt dix huit pour cent du cerveau ne fonctionne pas".
"Il faut toujours regarder sa peur en face et lui donner un nom. Sinon, elle vous écrase et vous emporte comme une vague scélérate".
Au sujet de l'écriture :
"Il en faut, du courage, pour rester enfermée de longues heures à triturer les mots, à leur dessiner des petites pattes velues ou des ailes afin qu'ils marchent ou s'envolent".
"Quand on écrit, il faut ouvrir toutes grandes les portes à la vie afin qu'elle s'y engouffre dans les mots et alimente l'imaginaire".
Au sujet du vocabulaire :
"ça sert à t'aider dans ta pensée. A mettre des mots sur des émotions, des sensations.... Tu clarifies ta tête en sachant mettre le bon mot sur la bonne chose. Et en te clarifiant la tête, tu te fais une personnalité, tu apprends à penser, tu deviens quelqu'un".
L'homme idéal est celui qu'on aime.
"Je devrais plutôt lui apprendre à faire une quiche ! ça arrêterait le manège dans sa tête."

22 avril 2010

Voyager...

"L'imagination
est la meilleure compagnie de transport au monde."

(Roger Fournier)

095BoiteChinoise

Création en pâte polymère

21 avril 2010

Carte postale

St_Marguerite_iles_de_lerins2010

Photo avril 2010
(les îles de Lérins : Sainte Marguerite)

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