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Le bruit des vagues
30 septembre 2010

dernière lecture : novecento, pianiste

de Alessandro Baricco

BarricoAlessandroNovecentoPianiste

Présentation de l'éditeur
Novecento est né en mer. A trente ans il ne connaît rien de la terre ferme. Il navigue sans cesse sur l'Atlantique. Son temps est entièrement dédié à composer une musique étrange et magnifique sur son piano, une musique de l'Océan entendue comme un souffle dans les ports qui jalonnent son errance.

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29 septembre 2010

d’ici, j’entends la mer…

"L'espoir c'est vicieux,
c'est un truc irréel qui te fait croire que tout peut changer,
ça te vient comme ça si tu fais pas gaffe,
on te balance un petit mot gentil et tu commences à y croire
comme un môme devant une promesse."

Maud Lethielleux, dans "D'où je suis, je vois la lune"

DSC05623

Photo août 2010

29 septembre 2010

J'aime bien, comme ça, tomber par hasard sur un

J'aime bien, comme ça,
tomber par hasard sur un trésor...

Hadouk_trio

Hadouk Trio
"Barca solaris" (album "Now")

27 septembre 2010

retrouver son chemin

un peu comme si l'on semait des petits cailloux...

DSC06169

23 septembre 2010

pas clair...

C'est la nuit
qu'il est beau de croire à la lumière.

[Edmond Rostand

DSC05679

Photo août 2010
(Côtes d'armor)

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21 septembre 2010

atollisé

mais sans les brumes...

140CollierAtoll

Collier polymère et pierres naturelles

20 septembre 2010

ici et maintenant

" Une chose est belle
quand on la regarde au bon moment. "

Une citation d’Hermann Hesse

_a_tient___rien

Photo juillet 2010

18 septembre 2010

dernière lecture : ker violette

de Karine Fougeray

FougerayKarineKerViolette

Présentation de l'éditeur :
"J'avais trente-cinq ans et je roulais en voiture. À vive allure, en rétrogradant sèchement dans les virages, en mordant la ligne blanche. Il faisait beau mais le temps qu'il faisait importait peu. Il fallait que j'avance.
La route longeait la côte, tournait dans tous les sens. Au deuxième village je suis descendue sur le port et je me suis garée là, dans les odeurs de casiers fraîchement débarqués. On m'a regardée. On m'a dévisagée par-dessous les casquettes, par-dessus les cols des cabans et des vestes de quart. Des hommes ont rivé leurs yeux sur moi parce que je leur étais inconnue et ces regards ne m'ont pas dérangée. Au contraire."
Karine Fougeray est née et vit à Saint-Malo. Son pre­mier recueil de nouvelles, Elle fait les galettes, c'est toute sa vie, est paru en 2005.
À propos des galettes, ils ont dit :
"Karine Fougeray est la petite soeur malouine d'Anna Gavalda. Fêtons-la."
Jérôme Garcin - Le Nouvel Observateur
"Naviguant avec subtilité au bord du drame ou de la nostalgie, Karine Fougeray, par touches délicates, sait dépeindre les petits riens de la vie qui lui donnent tous son sens."

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Que tous les amoureux des chevaux lisent ce livre ! C'est un vrai trésor, j'en suis sûre, pour les passionnés...
Et tous les autres, aussi...
Une magnifique histoire : un amour sans réserve pour les chevaux (qui empêche peut-être parfois d'aimer quiconque d'autre...), une enfance brisée, la présence de la mer, la vieillesse, la passion amoureuse, la peinture, la vie en famille, le mensonge, la liberté, des sentiments forts, des paysages sublimes. Bref : la vie !!!
Et puis, quelle belle écriture, aussi !
Certains ont comparé cet auteur à Ana Gavalda. Je ne trouve pas, il y a autre chose : c'est envoûtant. Et beau. Vite, il me faut maintenant trouver un autre roman de Karine Fougeray, histoire d'être sûre d'avoir trouvé là une vrai perle...

Morceaux choisis :
"On ne voit jamais que ce que l'on souhaite réellement voir".
"Les hommes ne passent-ils pas leur vie à chercher quelque chose ?"
"Dans un élan où tout mon être a chaviré vers autre chose, je me suis approchée de chaque tableau et je les ai observés religieusement, les uns après les autres. Je n'ai pensé qu'à une seule chose, une évidence qui m'a transpercée de part en part : cet homme peint des tableaux pour que les hommes nagent dedans."
"Elle va où bon lui semble, la mer. Peu importe du moment qu'elle nous revienne. Parce que tout nous revient. A longeur de temps tout recommence, comme les marées".
"ça veut dire quoi, créer ? ça veut rien dire, couillon, ça veut tout dire. ça signifie être vivant sur la terre. ça veut dire être capable d'extraire de soi des sentiments et de les représenter, ces émotions uniques, parce qu'elles n'appartiennent qu'à toi, mon vieux, et que rien ni personne n'aurait pu prendre ta main et l'exprimer à ta place."
"Il faut accepter le destin. Son destin. Accepter, accepter, voilà le secret d'une vie."

Un passage qui m'a fait rêver :
J'ai roulé pendant encore cinq kilomètres et j'ai atteint le village un peu avant onze heures, au milieu d'une flaque de soleil qui a duré le temps que dure ce genre de miracle ici. Assez longtemps pour qu'une chaumière marron vire dans l'instant au rose bonbon, pour que les collines sombres se muent en pommes vertes. Trop rapidement pour que ma mémoire enregistre les couleurs réelles de ce qui composait le paysage. Tout changeait, tout mouvait, les rayons solaires chutaient subitement du plafond et plantaient leurs étincelantes lames de couteaux au hasard des toitures, des champs, des rues".

16 septembre 2010

une fois n'est pas coutume.

Ce collier-ci porte un nom.
C'est exceptionnel, mettons-nous d'accord,
mais c'était aussi une évidence :
"Ondée"
ça vous plaît ?

57074466_p

collier en pâte polymère,
poncé, lustré, kliré puis patiné

15 septembre 2010

ah, ben c'est malin !

Je plains ceux qui ont l'air intelligent ;
c'est une promesse qu'on ne peut tenir...

une citation d'Emile-Auguste Chartier, dit Alain
dans Propos sur l'esthétique (1923)

...et juste parce que ça me fait rire.

(...Et allez, dites-le que vous venez de penser à quelqu'un en particulier !?)

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