Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le bruit des vagues
29 juillet 2006

dernière lecture : Cafés crème

de Charles Lancar

caf_s_cr_me

RÉSUMÉ DU LIVRE
Devenu sur le tard patron d’un bistrot de Sèvres, Jean-Louis ne vit que pour et par son café. Derrière son comptoir, il se plaît à observer les couples d’étudiants amoureux, les hommes solitaires, les femmes blessées. Il sait bien qu’il est presque invisible aux yeux de ces inconnus, pourtant ils font tous un peu partie de sa vie.
Inévitablement, Jean-Louis a parfois quelques coups de cœur pour ses fidèles clients et, parfois, éprouve quelques désillusions. Ainsi assiste-t-il à l’idylle naissante entre Florence Galtier, charmante avocate écorchée par sa récente rupture, et le Trappeur, un énigmatique quinquagénaire qui noircit avec frénésie son bloc de papier. Il y a aussi Francesco, macho d’un naturel violent, pour qui il s’est pourtant pris d’amitié. Sans oublier ce nouvel habitué, un aveugle, qui chaque matin vient déguster son petit crème.

 

Extraits du livre :
" Dans le temps, on disait : " je vais à l’église " ou " je vais à confesse. " C’est ici, à La Chaumette, que je me suis rendu compte combien les gens ont besoin de sortir ce qui est en eux. (...) " l " Personne ne se rend compte que les autres, les gens, c’est nous, c’est mon voisin, c’est moi. On n’a pas été éduqués pour comprendre ça " l " Le café, c’est l’espace de rassemblement des solitudes, pas nécessairement de leur fusion " l " ...les prémices de la vieillesse. Sinon, comment expliquer ce détachement croissant envers ce qui me paraissait autrefois essentiel ? Oui, c'est cela au fond, la vieillesse, le sentiment de ne plus être indispensable à la machine universelle " l " J'ai moins peur de la mort que de la décrépitude. Je crains moins le néant que le chagrin de ceux que j'aime  " l " Au fond (...) les hommes s'évertuent bien souvent à lisser les rugosités de l'existence, sans se douter que ces aspérités leur permettent de s'accrocher à la vie  " l"Je t'aime" un homme qui prononce ces mots n'est ni faible ni vulnérable, il est fort, il est un dieu"

Mes réflexions, autour de ce roman :
Une analyse sensible des comportements humains, la saveur tendre d’une atmosphère de bistrot : voilà un roman pour l’été. On ne se torture pas l’esprit, l’histoire coule, et chaque personnage exprime son ressenti. Sympa.


 

table_d_un_caf_

Publicité
Publicité
25 juillet 2006

dernière lecture : Comme un roman

de Daniel Pennac

comme_un_roman

RÉSUMÉ DU LIVRE
Daniel Pennac raconte comment il a réussi à faire aimer les livres à sa classe en lisant à ses élèves le début des romans sans rien demander en échange, juste pour le plaisir...
Avec un style tout à fait pertinent, l'auteur a le don de nous interpeller.
Par exemple, voici, selon lui, les droits imprescriptibles du lecteur :
1. Le droit de ne pas lire.
2. Le droit de sauter des pages.
3. Le droit de ne pas finir un livre.
4. Le droit de relire.
5. Le droit de lire n'importe quoi.
6. Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible).
7. Le droit de lire n'importe où.
8. Le droit de grappiller.
9. Le droit de lire à haute voix.
10. Le droit de nous taire.

 

 

Extraits du livre :
Je n’ai jamais eu le temps de lire, mais rien, jamais, n’a pu m’empêcher de finir un roman que j’aimais.

Si le livre nous tombe des mains, eh bien, laissons le tomber tout simplement !!!

Lire est un plaisir, et dès qu'on le découvre, on aime lire.

"Le verbe lire ne supporte pas l'impératif. Aversion qu'il partage avec quelques autres : le verbe " aimer "… le verbe " rêver "… On peut toujours essayer, bien sûr. Allez-y : " Aime-moi ! " " Rêve ! " " Lis ! " " Lis ! Mais lis donc, bon sang, je t'ordonne de lire ! " -Monte dans ta chambre et lis ! Résultat? Néant.

D'autant plus inconcevable, cette aversion pour la lecture, si nous sommes d'une génération, d'un temps d'un milieu, d'une famille où la tendance était plutôt à nous empêcher de lire :
- Mais arrête de lire, voyons, tu vas te crever les yeux !
- Sors plutôt jouer, il fait un temps superbe.
- Éteins ! Il est tard !
Oui, il faisait toujours beau pour lire, alors, et trop sombre la nuit.

Mes réflexions, autour de cet essai :
J'ai aimé, et j'imagine qu'ici, chacun retrouve sa vision du livre... A la façon dont cet essai (mais ne pourrait-on pas dire "roman") est écrit, on n'en aime que davantage l'action de lire.

 


 

Il y a donc 1000 et 1 façons d'aborder la lecture...
...enfin, en voilà déjà 4
lectrice_1  lectrice2  lectrice_3  lectrice_4
( visions de peintres... pour en savoir plus, cliquez sur la photo !)

17 juillet 2006

dernière lecture : La moisson d'hiver

de Serge Brussolo

la_moisson_d_hiver

RÉSUMÉ DU LIVRE
A la fin de la Deuxième guerre mondiale, le jeune Julien quitte son pensionnat pour rejoindre la propriété familiale que lui a léguée son grand-père, mort dans d’étranges circonstances. Mais au milieu de son champs de mine, la vieille demeure est inhabitable, et sa mère semble hantée par de terribles secrets de famille… Qui rode dans les bois aux alentours de la maison ? Et pourquoi Julien a-t-il le sentiment d’être sans cesse observé ?
Dans les pas de Julien, le lecteur va, haletant, de surprise en surprise et retrouve lui-même son âme d'enfant.

Extraits du livre :
Ben désolée, je l'ai lu trop vite, et puis, de toutes façons, ce n'est pas un "roman de style", donc pas de "phrases choc". L'histoire, en elle même est bien suffisante...
Bon... p
eut-être alors un petit mot de l'auteur ?

"Mes livres sont des livres de crise, pas des livres joyeux.
Aussi, j’utilise tous mes souvenirs négatifs
comme un acteur qui essaye de rentrer
dans la peau du personnage qu’il doit jouer.
Mais il ne faut pas confondre l’auteur et son personnage".
(Entretien avec Richard Comballot de1990
publié dans la Revue Phénix n°24, 1990, p. 92)

Mes réflexions, autour de ce roman :
L'ambiance est plus que trouble, et les personnages à double visage ne nous laissent pas beaucoup de répit... Donc, voilà un roman se lit d’une seule traite ! De toutes façons, Serge Brussolo ne m'a, jusqu'à présent, jamais déçue ...mais enfin, avec 150 romans à son actif... pas sûr que j'arrive à tous les découvrir...
Vous pouvez tout connaître sur l'auteur (sa vie, ses divers pseudos...) ici, et des commentaires de ses "fans" (dont je sens que je vais bientôt faire partie) sur quelques uns de ses meilleurs bouquins ici. La liste complète de ses romans ici. Et bien... bonne lecture ! (et croyez-moi : il n'y a que l'embarras du choix...)

 


 

"Une guerre ne fait pas cent mille morts,
mais cent mille fois une mort."
guernica
Guernica - Picasso

25 juin 2006

dernière lecture : Des jours et des nuits

de Gilbert Sinoué

des_jours_et_des_nuits

RÉSUMÉ DU LIVRE
Amour, réincarnation, malédiction.
L'auteur nous raconte l'histoire tragique d'un amour maudit. Cela se passe en Argentine, à Buenos Aires plus exactement, dans les années 30 : le héros, Riccardo Vacarezza, rêve certaines nuits d'une femme, Sara, qu'il aurait connue il y a plus de trois mille ans.
Il imagine que cette femme réincarnée existe quelque part dans le monde et cette obsession d'un amour perdu l'amène successivement à consulter une psychanalyste, un voyant indien et un archéologue.
Il parcourt les îles grecques à la recherche de Sara, dont il aurait aperçu sur affiche l'image sous forme d'une statuette.  Il fréquente les sites archéologiques de la Grèce et des Cyclades pour en retrouver la piste.
Parviendra-t-il à la rencontrer?

Extraits du livre :
"Tout, dans la nature qui nous environne nous parle de renaissance".
"La religion (...est devenue) un fabuleux instrument de pouvoir. Si l'on menace un individu de damnation éternelle, si son sort se joue en l'espace d'une seule vie, la mort devient nécessairement l'évènement le plus terrifiant et le plus exceptionnel de notre existence."

Mes réflexions, autour de ce roman :
Les 3 premières pages (qu'on pourrait croire écrites par cette chère Barbara Cartland) m'ont donné envie de très vite refermer le bouquin...
et puis j'ai poursuivi bienheureusement ma lecture.
Le sujet de réincarnation, qui nous laisse penser que l'on mourra et vivra à l'infini n'est pas pour me déplaire (même si je ne suis que très moyennement convaincue)... Il n'est pas ici traité de manière rassurante !!!
On se laisse prendre à cette histoire farfelue et, au fil des pages, on accompagne Ricardo dans sa quête. Finalement, c'est un assez bon roman qui nous ballade dans plusieurs pays et que l'on lit facilement.

Un tableau sur le sujet
reincarnation
que j'ai trouvé sur internet
(et qui a l'air d'inspirer beaucoup d'artistes !)

20 juin 2006

dernière lecture : Le livre du voyage

un roman (mais en est-ce vraiment un...)
de Bernard Weber

image

RÉSUMÉ DU LIVRE
Imaginez un livre qui serait comme un ami de papier. Imaginez un livre qui vous aide à explorer votre propre esprit. Imaginez un livre qui vous entraîne vers le plus beau, le plus simple et le plus étonnant des voyages. Un voyage dans votre vie. Un voyage dans vos rêves. Un voyage hors du temps.

Extraits du livre :
"Un bon livre est un miroir où tu te retrouves.(...) Je suis juste un morceau de carton (…) Je peux être beaucoup plus si tu le désires. (…) Quelque chose qui ne te laissera jamais ni seul ni sans sortie de secours. Un ami de papier "
"(...) il est possible de trouver un réconfort dans un livre..."
"(...) les livres ont la puissance que leur accorde leur lecteur, et (...) celle-ci peut être sans fin."
"Il y a même des livres qui ne te demandent qu'une seule chose : être achetés. Même pas lus, juste achetés".

Mes réflexions, autour de cet album :
Ma foi... c'est la première fois qu'un livre me parle. Si l'on se laisse prendre au jeu, c'est plutôt drôle... Sinon, c'est assez déroutant. Bon bon bon... Encore un bouquin qui me laisse songeuse (mais pas emballée).

> Ce qu’en dit l’auteur : " Un livre, non pas seulement à lire mais à vivre de l'intérieur. Une expérience à faire, entre la relaxation et le rêve... "

et là, j'ai envie de dire
paysage_enflamm_
que la beauté n'existe pas seulement dans les rêves :
elle est là, tout autour de nous
il suffit seulement parfois d'ouvrir les yeux
et de regarder
(photo perso "Juste avant l'orage"  - Vue du jardin)

 

 

Publicité
Publicité
15 juin 2006

dernière lecture : Les petits ruisseaux

 

une BD de Rabaté

les_petits_ruisseaux__rabat_

 

RÉSUMÉ DU LIVRE
Dans le fin fond de la province française, Emile, un petit vieux, se la coule douce. Il pêche, il cuisine, il boit des petits canons au bistrot du coin, mais il est veuf donc seul. Il s’entend tout de même très bien avec Edmond, il pensait bien le connaître, mais chacun a ses petits jardins secrets. Ceux d’Edmond sont la peinture (et plus particulièrement les nues), et surtout les rencontres grâce à une agence, et oui à tout âge on cherche la compagnie. Emile se retrouve perturbé par ces possibilités, la mort brutale de son ami le fait encore plus réfléchir. Et si la vie n’était tout simplement pas encore finie ? En voulant retrouver les lieux de son enfance, Emile répondra à cette question.

Extraits du livre :
" Sex, on fera ce qu’on pourra – Drug, surtout contre le cholestérol - An rock’n roll, je suis meilleur en musette " (c’est le sous-titre du livre, mais faut arriver à déchiffrer…)
" … Dieu existe… tiens… la preuve, la coquille d’escargot ! "

Mes réflexions, autour de cet album :
Je vous conseille très vivement de consulter ce lien : http://www.bdgest.com/critique_1530.html , qui en parle très très bien (en tout cas mieux que je ne pourrais le faire).

En guise d'illustration,
je vous aurais bien mis une photo
de ma grand-mère dans ses (très) vieux jours,
mais je crains qu'il n'y ait guère plus que les siens
qui pourraient la trouver belle...
Je vous laisserai donc plutôt insérer (imaginer)
celle de vos "anciens".

 

 

 

11 juin 2006

dernière lecture : Mes nuits sont plus belles que vos jours

de Raphaële Billetdoux

nuitbeljour

RÉSUMÉ DU LIVRE
Roman d'une rencontre entre un homme et une femme. La chaleur du mois de juillet, la mer, la lune ; entre romantisme et violente sensualité, ces deux êtres vont apprendre à s'aimer l'espace de quelques nuits.

Extrait du livre :
"Même le loup n'est pas ou plus comme vous l'avez dit... c'est un pauvre loup pelé, dépassé par les événements, dont plus personne n'a peur, qu'on croise tous les jours dans la rue sans même le voir..."

Mes réflexions, autour de ce roman :
Une terrible (et torride) histoire d'amour. Les héros sont trop perturbés, psychologiquement, pour me plaire... Même si le roman est très bien écrit, le personnage principal, Lucas, m'a terriblement agacée par sa possessivité exacerbée, et j'ai donc achevé de lire ce roman sans grande conviction.
(A
noter, à son avantage, que c'est un livre qui a obtenu le prix Renaudot en 85 et a fait l'objet d'un film de Zulawski, avec Sophie Marceau et Jacques Dutronc).

Bon, et comme d'hab',
une photo qui n'a rien à voir
(quoi que...)
nuit_jour
c'est la tombée de la nuit sur l'Europe !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Nuit

8 juin 2006

dernière lecture : Les derniers géants

un roman illustré de François Place

les_derniers_g_ants

RÉSUMÉ DU LIVRE
Sur un  dock anglais, Archibald Leopold Ruthmore achète une dent grosse comme le poing, couverte de gravures. Un examen minutieux laisse apparaître une carte minuscule sur laquelle on distingue "le cours d'un fleuve, des chaînes de montagnes, une région enclavée".  Laissant sa maison du Sussex aux soins d'Amelia, sa gouvernante, Archibald embarque à bord d'un vaisseau de la Compagnie des Indes le 29 septembre 1849.

Extraits du livre :
«Je rêvais de mondes perdus, d'îles oubliées, de terres inconnues»
«Mes livres les avaient tués bien plus sûrement qu'un régiment d'artillerie»

Mes réflexions, autour de ce roman :
Bon d'accord, ce livre, il était pour les enfants. Et puis d'abord, fallait pas le laisser traîner !
Et les dessins étaient tellement soignés, que je n'ai pas pu m'empêcher d'y jeter un oeil, donc de le lire. Et l'histoire est vraiment très belle.
d_dicace_f._place
Grâce à Valérie, nous avons découvert un nouvel auteur de la littérature enfantine, et ça vaut le détour
. Et en plus, notre exemplaire, il est dédicacé !!!

 

 

gauguin1

Toujours dans la littérature enfantine, voici un livre sur la vie et l'oeuvre de Gauguin qui est très attractif et accessible par les enfants. Et Gauguin restant Gauguin, les tableaux présentés y sont magnifiques... (http://www.editionspalette.com/palette/index.php)

31 mai 2006

dernière(s) lecture(s) : Jean de Florette et Manon des Sources

Une odeur de pinède,
le chant des grillons...

on s'y croirait presque !

jean_de_florette  manon_des_sources

RÉSUMÉ DES LIVRES

Jean de Florette :
Dans les années 25, un petit village de Haute-Provence, la vigne et la lavande, quelques élevages.
Ayant hérité d'un terrain, Jean de Florette vient s'y installer et rêve à de merveilleuses cultures, mais Ugolin a lui aussi un projet : y faire pousser des oeillets. Le vieil oncle Papet va l'y aider...

Manon des Sources :
Dans les collines de Provence, Ugolin cultive de splendides oeillets grâce à la source des Romarins. Mais il n'est pas heureux. Car, souvent, il a des remords. Si Jean de Florette est mort, il y a dix ans, c'est parce que le Papet et lui avaient bouché la source et qu'il s'est tué en allant chercher de l'eau au-delà des montagnes. Aujourd'hui, dans les montagnes, vit Manon...

Mes réflexions, autour de cette série :
Ces deux bandes dessinées m'ont donné très envie, d'une part de relire les romans de Marcel Pagnol, mais aussi de revoir les films, dont je me souviens encore de la musique et du jeu grandiose des acteurs...
jean_de_flo2 manon2
J'avais juste oublié à quel point cette histoire est superbe.

Comme la provence...
(du moins celle qui a su rester authentique !)
provence

 

19 mai 2006

dernière lecture : Deux fois par semaine

de Christine Orban

livre_deux_fois_par_semaine1

RÉSUMÉ DU LIVRE
Elle a 20 ans, se dit anesthésiée du coeur et cherche du soutien auprès d'un psy le lundi et le jeudi. Elle est mariée depuis peu et victime d'un drame dont elle ne peut parler tant elle est fermée sur sa douleur, enfermée dans un bloc de silence. Au cours des séances une relation se crée, faite de provocations, de mille détails qu'elle note comme un entomologiste, et peu à peu cette immense douleur qui ne peut pas se dire affleure en notations rapides et d'autant plus émouvantes. Comment admettre et dire l'irréparable quand on est dans l'éternité de la jeunesse ? Comment vivre dans l'imminence de la mort quand on a 20 ans et qu'on aime pour la première fois ? Dans ce rapport presque muet entre la jeune patiente et le vieux psy, de la provocation à la confidence, de l'irritation au désarroi, de la souffrance muette à la frivolité, tout est évoqué de ce qui se tisse de si fragile et essentiel dans la relation à l'autre : cette présence-là, fondamentale, qui agit comme rempart à l'irréparable.

Ce résumé est issu du (culturel) site http://www.evene.fr/, qui mérite un petit détour (à noter, d'ailleurs que les quelques citations intégrées dans ce blog en proviennent également):

Extraits du livre :
«Comment peut-on soigner avec des mots ?»
«Je suis jeune, mais qu'est ce que la jeunesse quand on a perdu l'insouciance ? »

Mes réflexions, autour de ce roman :
Et bien
me voilà face à un dilemme : bien qu'ayant littéralement dévoré ce roman, et l'ayant trouvé somptueux, j'aurai vraiment du mal à le conseiller, car il est (trop ?) troublant. Coeur fragile, s'abstenir : sous son apparente légèreté, il est vraiment très sombre.
Peut-être est-ce justement cela, un bon bouquin ?

Ok, la photo n'a rien à voir...
Mais je trouve qu'elle évoque, justement, l'insouciance.
stevemccurry
http://www.stevemccurry.com/gallery/gallery.php?galleryTitle=burma

 

Publicité
Publicité
<< < 10 20 30 31 32 > >>
Le bruit des vagues
Publicité
Newsletter
Mes livres sur Babelio.com
Derniers commentaires
Archives
Visiteurs
Depuis la création 438 479
Publicité