Avec beaucoup de pudeur,
Nadège se dévoile...
Elle nous confie une photo qui lui est tellement chère...



"J'ai l'impression de me mettre toute nue.
C'est aussi pour cela que j'ai fait ce montage,
cette photo, c'est toute mon enfance...,
ma grand-mère...
vraiment dur de l'exposer...
J'hésite.
Bien sûr, j'imagine que pour quelqu'un qui ne connait pas ces lieux,
cela n'évoque rien,
mais alors
pour moi,
c'est très dur,
un morceau de mon jardin secret,
ces endroits tellement précieux,
que l'on ouvre si peu aux autres..."

Ceci est ce que l'on appelle un véritable cadeau.
Merci, Nadège...

Vous pouvez participer à cette rubrique !
Pour quelques explications, c'est par ici !!!

Sans pâte totalement desséchée,
impossible de réaliser des perles "aladomi"

mais avec...
le résultat est totalement aléatoire ...et magique !

Le bal

Irène Némirovsky
(Hachette, 2005, 125 pages)

Résumé
1928, les Kampf sont devenus riches, à la faveur de boursicotages. La mère, Rosine, rêve de faire partie de la haute société, le père suit, personnage effacé ayant épousé la secrétaire du patron chez qui il était petit employé. Antoinette, 14 ans, étouffe sous le manque d'affection de sa mère, ses remontrances permanentes. On décide de donner un grand bal, d'en mettre plein les yeux, à la façon "nouveaux riches". Antoinette est de corvée d'invitation, avec sa belle écriture, profitant ainsi du bavardage de ses parents. Seulement voilà, elle n'aura pas le droit de participer à ce bal, Rosine ne pouvant supporter d'afficher une fille déjà si grande, une rivale potentielle. Alors Antoinette se vengera, sans préméditation, d'une façon glaçante...
120 pages pures comme un diamant, une plongée parfaite dans la tête d'une jeune fille rejetée, une claque incroyable pour l'époque. Irène Némirovsky écrit ici un soufflet terrible pour sa mère, petit roman écrit d'un jet entre deux chapitres d'un autre, largement puisé dans sa propre vie...

Commentaires :
Ce texte, écrit avec humour, se moque des classes bourgeoises et décrit à merveille les tourments de l'adolescence. Antoinette, jeune fille de 14 ans, a le coeur plein de rage et elle se venge de sa mère d’une façon éclatante, mais aussi cruelle et déraisonnée…
« Le bal", tableau moqueur de ces nouveaux riches de l’entre-deux-guerres, se lit en un rien de temps…

En hiver,
une harmonie de couleurs
que certains trouveront sombres.
Pour moi,
ces teintes sont sauvages et vivifiantes.
Juste authentiques.
Belles.

De nouvelles toiles de Gérard Jézéquel*,
encore toutes imprégnées de peintures fraîche,
sauront sans doute vous émouvoir.
C'est par ici !

* Mon tonton Gérard,
...qui plus est : mon parrain !!!

Broderie de perles
sur fimo...

collier en pâte fimo, perles de rocailles, monté sur buna cord

Au départ, il s'agissait d'un essai
pour réaliser du hidden magic "d'une autre façon"
(la recette là).
Au final, quelques bijoux
avec un mélange de techniques et d'effets,
sans doute pas trop mal réussis,
puisqu'une de mes filles
s'est immédiatement approprié la parure complète !

Collier et boucles d'oreilles assorties en pâte polymère

qui ressemble tellement à la mienne !!!

c'est là...

mon nouveau porte-lames
me plaît pourtant beaucoup !

Il est aux couleurs de mon blog, tout simplement.
Avec lui, on se retrouve en bord de mer,
à admirer un voilier sautant sur les vagues,
quelques coquillages, nacres ou galets,
cueillis au gré d'une promenade,
les pieds dans l'eau,
et aussi une ou deux perles,
qui savent si bien embellir les choses...

En plus grand, ici !

Je ne puis regarder une feuille d'arbre
sans être écrasé par l'univers.
[Victor Hugo]

un autre visage de la Martinique

un billet doux...

stylos habillés de fimo (restes de canes)