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Le bruit des vagues
citations
27 septembre 2011

je pense, donc...

"Il y en a qui croient,
il y en a qui doutent,
il y en a qui pensent.

Je suis de ceux qui pensent :
je pense que je crois que je doute."

(une citation de Louis Scutenaire)

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08390

photo septembre 2011

(La photo est bien plus jolie un peu plus grande...
Je vous encourage à cliquer dessus !)

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26 septembre 2011

dans le cœur, l’esprit, les mains

« La liberté (…),
on ne la trouve pas seulement dans la fuite,
mais dans le cœur, l’esprit, les mains. »

(une citation de Louise Erdrich dans "La malédiction des colombes")

2011-110CollierLeBruitDesVagues

Collier en pâte polymère

25 septembre 2011

petite faim ?

"Le bonheur est une petite chose
que l'on grignote, assis par terre,
au soleil."

[une citation de Jean Giraudoux]

Le bruit des vagues-DSC08303

Photo juillet 2011

23 septembre 2011

dernière lecture : Guérir

de David Servan-Schreiber

docteur servan schreiber 

Présentation de l'éditeur :
David Servan Schreiber part d'un constat simple : Depuis peu, les neurosciences et la psychologie ont connu un changement radical. Notre cerveau 'émotionnel' est bien plus que le vestige encombrant de notre passé animal : maître de notre corps et de nos passions, il est à la source de notre identité, des valeurs qui donnent un sens à notre vie. Qu'il se dérègle un tant soit peu, et celle-ci part en lambeaux, qu'il soit en harmonie avec notre corps et nous devenons pleinement nous-mêmes... L'auteur propose donc sept techniques pour permettre à chacun de trouver ou de retrouver un équilibre mental et physique. Ces méthodes passent par un contrôle des mouvements oculaires, une régularisation du rythme cardiaque ou encore une synchronisation des horloges biologiques.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Après la lecture de "On peut se dire au revoir plusieurs fois", j'avais évidemment envie d'en connaître davantage sur les écrits de David Servan Schreiber. Qui nous propose une manière de parler différemment de la maladie.
L'idée : se battre non pas avec sa tête, mais avec son corps ! Surveiller son alimentation, l'enrichir en oméga 3, bouger en faisant du sport, se tourner vers l'acupuncture, la méditation. Sans jamais négliger le lien aux autres (empathie).
Un documentaire, que vous pourrez visionner à la fin de cet article (principalement axé vers la dépression) retranscrit très bien le contenu du livre.
Pour moi, il s'agit là surtout d'une porte ouverte vers le "mieux vivre" : en harmonie avec son corps et ses idées.
Pour d'autres, sont exposées là les idées d'un charlatan (voir ici ou encore !). (Conseiller une alimentation saine ou faire du sport ne relèvent-ils pas tout simplement de bon sens ?...)
Faites vous votre opinion, et dites moi...

Morceaux choisis :
« Quand on se consacre à quelque chose d'autre, on oublie un peu »
«
L'homme est un animal profondément social. Nous ne pouvons pas vivre heureux, nous ne pouvons pas guérir au fond de nous-même, sans trouver un sens dans notre rapport au monde qui nous entoure, c'est à dire dans ce que nous apportons aux autres. »

 



Guérir Autrement - Dr David Servan-Schreiber 1/4 par Wakeup-


Guérir Autrement - Dr David Servan-Schreiber 2/4 par Wakeup-


Guérir Autrement - Dr David Servan-Schreiber 3/4 par Wakeup-


Guérir Autrement - Dr David Servan-Schreiber 4/4 par Wakeup-

21 septembre 2011

et si on se donnait le temps

"Ecoute, écoute un peu vivre, respirer,
se détendre le corps exténué qui te chérit,
sans que ton esprit s'en aperçoive".

une citation de Henry Bauchau,
dans L'enfant bleu

Et si on se donnait nous aussi le temps
de respirer, de regarder, d'être vivant...

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08448 AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08447

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08432 

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08434 AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08448 2

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC07138

photos septembre 2011
en forêt (Chartreuse, en Isère)

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6 septembre 2011

dernière lecture : On peut se dire au revoir plusieurs fois

de David Servan-Schreiber

Servan-Schreiber David On peut se dire au revoir plusieurs fois
 

Présentation de l'éditeur :
« Tôt ou tard, il allait revenir. Je connaissais les pronostics de mon cancer. Je pouvais retarder l'échéance, gagner des années, presque l'oublier, mais cette fois c'était "the Big One", comme disent les Californiens qui redoutent un tremblement de terre dévastateur.
Cette rechute m'a amené à me poser les questions les plus graves, peut-être les plus importantes, de ma vie : si je suis rattrapé par la maladie alors que je pense, mange, bouge, respire et vis anticancer, alors que reste-t-il d'Anticancer ?
C'est pour répondre à cette question que j'écris aujourd'hui.
Ce livre est aussi l'occasion, pour moi, de dire au revoir à tous ceux qui ont apprécié mes livres précédents ou qui sont venus m'écouter. Quoiqu'il arrive, j'ai le ferme espoir que cet au revoir ne sera pas le dernier.
On peut se dire au revoir plusieurs fois. »

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Une rencontre inoubliable, magnifique, qui m'a emplie de bonheur. De chagrin, aussi. Un homme que j'aurais tant aimé connaître, de ceux qui marquent, parce que respectueux des autres, humble, humain, qui se livre tout entier, avec ses doutes, ses espoirs, ses connaissances
Ce livre, prêté un peu par hasard par une amie, je l'ai lu en même pas deux jours, et je me suis précipitée à la librairie pour très vite pouvoir lire aussi "Guérir" et "Anticancer". Si vous ouvrez "On peut se dire au revoir plusieurs fois", vous comprendrez pourquoi, et sans doute aurez-vous cette même pulsion que moi...

Morceaux choisis :
« Ce qui "aide à vivre" aide en fait la puissance de vie inhérente à tout organisme vivant Et, inversement, tout ce qui ronge l'envie de vivre diminue nos capacités de guérison »
«
C'est triste, la "cérémonie des adieux". Mais le plus effrayant serait que ce ne soit pas triste.S'il nous est donné de nous rencontrer de nouveau dans trois mois, je recommencerai avec autant de plaisir et de tristesse. »
« Je suis intimement persuadé que la fréquentation d'un bois, d'une montagne, d'un rivage apporte quelque chose de formidablement ressourçant, peut-être parce qu'elle nous permet de nous caler sur le rythme des saisons. »
« Avec la méditation, on sait qu'on va s'emmener soi-même prendre l'air. »

3 septembre 2011

la fréquentation d'un bois

La fréquentation d'un bois, d'une montagne, d'un rivage
apporte quelque chose de formidablement ressourçant,
peut-être parce qu'elle nous permet de nous caler
sur le rythme des saisons,

ce qui doit contribuer à l'équilibre.

David Servan-Schreiber,
dans "On peut se dire au revoir plusieurs fois"

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC07909

Photo printemps 2011

28 août 2011

la tête dans les étoiles

 "Les étoiles, au dessus de ma tête,
sont toujours placées au même endroit,

le jour, elles sont
et pourtant je ne les vois pas."

Claudie Gallay
dans "L'amour est une île"

AnnePoncet Le bruit des vagues-DSC07135

Photo avril 2011

23 août 2011

dernière lecture : Les chaussures italiennes

de Henning Mankell

Mankell_Henning_Les_chaussures_italiennes

Présentation de l'éditeur :
A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.
Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Ce roman aura été un véritable petit régal : l'histoire d'un homme qui se remet tout simplement à vivre...
Avec une atmosphère très particulière : beaucoup de retenue, de paix, de douceur et de poésie, de violence et de solitude, aussi : la vie d'un reclus dans un univers fantastique, une île hors du temps dans un monde contemporain, une fille (belle), une autre (vengeresse), des chaussures (parfaitement incongrues) et tellement d'autres petits bonheurs distillés au fil des pages.
C'est beau, marquant, oserais-je dire inoubliable ?
(...un genre de conte, à lire plutôt en hiver, sous de douillettes couvertures...)

Morceaux choisis :
« Si j'ai quelque chose à dire, je le dis. Je ne crois pas qu'on doive tout partager. Si on fouille trop loin dans le coeur des autres, on risque de détruire l'amitié. »
(Cette première citation, vraiment, je l'aime ! Car je la trouve franchement à méditer en cette glorieuse aire facebookienne !!!)

« Il vaut mieux s'approcher des autres lentement. Si on va trop vite, on risque la collision ou le naufrage. »
« Il est aussi facile de se perdre à l'intérieur de soi que sur les chemins des bois ou dans les rues des villes. »
« Quand la chaussure va, on ne pense pas au pied. » 
« La vie tourne rarement comme on l'avait imaginé. »
« La nuit d'hiver était étoilée et immobile. Parfois, quand je vois un ciel comme celui-là, je regrette de ne pas être compositeur. »

Et puis, un passage un peu plus long :
"Des promesses, on en reçoit tant. On s'en fait à soi-même. Les autres nous en font. On a les politiciens qui nous parlent d'une vie meilleure pour les vieux, d'un hôpital où personne n'aura plus d'escarres ; on a les banquiers qui nous promettent des intérêts plus élevés, les produits qui nous promettent qu'on va perdre du poids, les crèmes qui nous promettent une vieillesse avec moins de rides. Vivre, ce n'est jamais qu'avancer dans son petit bateau au milieu d'un flot de promesses variées à l'infini. Quelles sont celles dont on se souvient ? On oublie celles qu'on voudrait se rappeler et on se souvient de celles qu'on préfèrerait oublier pour toujours. Les promesses trahies sont comme des ombres qui dansent autour de toi au crépuscule."

18 août 2011

ma préférence

 

Dans le méli-mélo,
j'ai toujours préféré le meli.

(une citation de Jean-François Deniau)

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08167

photo juillet 2011
(sur le port, Douarnenez)

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