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Le bruit des vagues
citations
6 mai 2012

faire les choses comme on a envie

Etre nous-même
dans un monde qui tente de faire de nous ce que nous ne sommes pas,
voilà notre plus grand accomplissement...

(une citation de Ralph Waldo Emerson)

2012-064CollierLeBruitDesVagues

Collier en pâte polymère

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2 mai 2012

comment as-tu pu oublier ça si souvent

"Tu es en train de vivre un bout de vie.
Comment as-tu pu oublier ça si souvent ?
Oublier que vivre est une chance,
oublier que chaque instant de vie est un miracle".

(une citation de Christophe André
dans "Méditer jour après jour")

2012-063CollierLeBruitDesVagues

Création en pâte polymère

28 avril 2012

des mots simples, pourtant

Il n'y a pas de honte
à préférer le bonheur

(une citation d'Albert Camus)

2012-065Collier&Math2LeBruitDesVagues

 

2012-066BouclesLeBruitDesVagues

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27 avril 2012

teinte et saveur iodées

"Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d'exister,
au-delà des occupations,
au-delà des sentiments forts,
au-delà des engagements politiques de tous ordres,
et c'est uniquement de cela que j'ai voulu rendre compte.
De ce petit plus qui nous est donné à tous:
le sel de la vie."

Une citation de Françoise Héritier

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Photos avril 2012
(Les îles de Lérins, Alpes-Maritimes)

25 avril 2012

j'aime bien me servir de mes mains

La bouche prononce des mots,
et ce sont les mains qui leur donnent tout le poids de l'émotion
et de la vérité ...
[ Massa Makan Diabaté ]

2012-058CollierLeBruitDesVagues

2012-055ParureLeBruitDesVagues

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24 avril 2012

dernière lecture : Anticancer - Les gestes quotidiens pour la santé du corps et de l'esprit

de David Servan-Schreiber

Servan-Schreiber David anticancer

¬¬¬¬¬

Présentation de l'éditeur :
Une perspective inédite pour mieux se protéger contre la maladie et optimiser sa santé.
La médecine moderne dépiste et soigne le cancer, mais elle ne tire pas parti des découvertes récentes qui montrent comment mobiliser toutes les ressources naturelles de notre corps.
Trois ans après la première parution de ce livre traduit en 35 langues dans près de cinquante pays, et vendu à plus d'un million d'exemplaires , la thèse principale de David Servan-Schreiber selon laquelle nous pouvons significativement fortifier nos défenses naturelles contre les maladies en général  et le cancer en particulier a été confirmée par de nouvelles études intégrées à cette deuxième édition.
David Servan-Schreiber retrace ici les aventures scientifiques passionnantes qui ont mené à cette nouvelle approche et propose une pratique de prévention et d'accompagnement des traitements classiques avec des résultats constatés par la recherche de pointe pour se construire une biologie anticancer.
Nous pouvons tous agir dans quatre domaines principaux.
Ainsi:
- nous prémunir contre les déséquilibres de l'environnement;
- ajuster notre alimentation;
- mieux réagir au stress dans notre vie;
- établir une relation différente à notre corps.
À la suite de la parution de ce livre, David Servan-Schreiber a reçu un nombre considérable de témoignages. Comme lui-même il y a quelques années, de nombreux lecteurs veulent aujourd'hui renforcer leur potentiel de santé. C'est pour eux qu'il a souhaité cette réédition. Afin que chacun puisse acquérir les armes qui lui permettront de se battre au quotidien contre la maladie. Et surtout, que chacun apprenne à nourrir sa force de vie.

Mon sentiment au sujet de cet ouvrage :
Ce livre devrait faire partie des incontournables. Il nous informe. De façon simple et optimiste. Il préconise les bons gestes, qui restent ceux du bon sens. J'ai bien aimé le ton, et je me suis attachée, au fil de ses écrits, à cet auteur dont on perçoit l'intelligence et l'empathie. Le besoin de partager.

Morceaux choisis :
"Nous avons tous besoin de nous sentir utiles à autrui. C'est une nourriture indispensable de l'âme, dont le manque crée une douleur d'autant plus déchirante que la mort est proche. Une grande partie de ce qu'on appelle la peur de la mort vient de la peur que notre vie n'ait pas eu de sens, que nous ayons vécu en vain, que notre existence n'ait fait une différence pour rien ni personne."
"Une plante qui ne prolifère pas n'est pas une mauvaise herbe".
"Pour dire "je t'aime", les indiens Yanomami en Amazonie disent : "Ya pihi irakema", qui signifie "j'ai été contaminé par ton être" - une partie de toi y vit et y grandit."
"Une des leçons les plus essentielles de la vie : nous sommes tous blessés peu ou prou, et nous avons tous appris à en avoir honte."
"Qu'il s'agisse d'apprendre à se relaxer et à mieux contrôler son esprit, à mieux se nourrir ou à pratiquer une activité physique régulière, le secret, au fond, est de se redonner un moyen d'agir sur sa vie - et sur sa maladie - au lieu de la subir dans la détresse et l'impuissance".

16 avril 2012

dernière lecture : Rien ne s'oppose à la nuit

de Delphine De Vigan

DeViganDelphineRien ne s'oppose à la nuit

¬¬¬¬¬

Présentation de l'éditeur :
« La douleur de Lucile, ma mère, a fait partie de notre enfance et plus tard de notre vie d’adulte, la douleur de Lucile sans doute nous constitue, ma sœur et moi, mais toute tentative d’explication est vouée à l’échec. L’écriture n’y peut rien, tout au plus me permet-elle de poser les questions et d’interroger la mémoire. La famille de Lucile, la nôtre par conséquent, a suscité tout au long de son histoire de nombreux hypothèses et commentaires. Les gens que j’ai croisés au cours de mes recherches parlent de fascination ; je l’ai souvent entendu dire dans mon enfance. Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l’écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd’hui je sais aussi qu’elle illustre, comme tant d’autres familles, le pouvoir de destruction du Verbe, et celui du silence. Le livre, peut-être, ne serait rien d’autre que ça, le récit de cette quête, contiendrait en lui-même sa propre genèse, ses errances narratives, ses tentatives inachevées. Mais il serait cet élan, de moi vers elle, hésitant et inabouti. »
Dans cette enquête éblouissante au cœur de la mémoire familiale, où les souvenirs les plus lumineux côtoient les secrets les plus enfouis, ce sont toutes nos vies, nos failles et nos propres blessures que Delphine de Vigan déroule avec force.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Franchement, après avoir lu "No et moi", du même auteur, je m'attendais à autre chose. C'est drôle, dès lors que l'on part avec une idée préconçue, on a du mal à s'y faire. J'attendais un autre style de récit : un genre de fiction.
Et pourtant, quelle histoire !
Je n'aurais lâché pour rien au monde ce roman qui se lit très vite, avec étonnement. Lorsqu'on regarde l'auteur sourire, s'exprimer, on n'imagine pas un instant quelle a été sa vie, son enfance, sa mère. Comment, avec tout ça, elle a trouvé l'équilibre. On croit toujours que les autres nous ressemblent un peu. C'est faux. Leur histoire est unique, chacun dissimule une fêlure, sa propre fêlure, avec derrière tellement de choses à raconter !

Morceau choisi :
La coordination est à l'écriture ce que le montage est à l'image. Telles que j'écris ces phrases, telles que je les juxtapose, je donne à voir ma vérité. Elle n'appartient qu'à  moi.

14 avril 2012

rendre présent l'absent

"Représenter, c'est rendre présent l'absent.
Ce n'est donc pas seulement évoquer
mais remplacer.
Comme si l'image était là pour combler un manque,
tempérer un chagrin."

une citation de Régis DEBRAY, dans "Vie et mort de l'image"

2012-043BrocheLeBruitDesVagues

Broche en pâte polymère.
un galet ? un paysage ?
une saison chargée d'attente ?
...à vous de me le dire.

8 avril 2012

nées dans l'imagination de quelqu'un (d'autre)

 

« Toutes les actions qui sont posées dans le monde
sont d'abord nées dans l'imagination de quelqu'un. »

[Barbara Grizzuti Harrison]

 

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Colliers en pâte polymère

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4 avril 2012

dernière lecture : Nage libre

de Nicola Keegan

keeganNicola Nage libre

¬¬¬¬¬

Présentation de l'éditeur :
Philomena n'est pas très à l'aise sur la terre ferme. Mais il lui suffit d'entrer dans l'eau pour se sentir à sa place. Quand elle nage, elle est puissante et libre. Lorsqu'un célèbre entraîneur la remarque dans une piscine du Kansas, une nouvelle vie commence pour elle. Philomena laisse place à "Pip", une jeune athlète promise à un avenir olympique. Une fois les médailles autour du cou, elle redevient fragile. Un autre défi l'attend. Parviendra-t-elle à le relever?
Nage libre est bien plus qu'un récit initiatique sur une championne hors du commun. Ce texte atypique, porté par la voix étonnante de Pip, est une révélation. Nicola Keegan y imprime sa marque : un humour, une poésie et une énergie remarquables, salués dès sa sortie aux États-Unis.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Beaucoup de plaisir à cette lecture.
Philomena est terrible, volontaire, critique, entière, championne, introvertie, blessée, grossière. C'est un sacré personnage. Que l'on ne comprend pas toujours, mais on la voit évoluer, s'adapter, s'interroger.
Vivre !
Et c'est passionnant.

Morceaux choisis :
"J'ignore encore ce que je suis, en revanche j'adore les futilités. C'est ce qui me donne un sentiment de sainteté."
"Le mensonge se dresse au centre de la salle à manger comme une grue qui s'apprête à lâcher une voiture dans le vide."
"Si le cerveau arrive à imaginer quelque chose, le corps trouvera un moyen de l'accomplir".
"J'ignore encore que la mort peut télescoper la vie à n'importe quel moment et en détacher quelqu'un d'un petit coup de ses ciseaux aiguisés, avec une précision telle qu'il ne reste qu'un espace béant, là où le vide aurait dû être plein."
"Il m'apparaît soudain que le monde dit beaucoup de choses, et que si l'on tend vraiment l'oreille, on acquiert une ouïe exceptionnelle."
"Les defunts, qui mènent une vie équilibrée dans l'au-delà, savent prêter une oreille attentive."

Enfin, ces deux passages un peu plus longs ...caustiques à souhait !
"Ce n'est pas parce que (les nonnes) restent pures qu'elles n'éprouvent aucune attirance pour le mal. Je parierais qu'aux ventes de charité elles ne présentent pas tous les gâteaux qu'on leur a donnés (...).Pendant les kermesses, elles dégustent des glaces trois boules à l'aide d'une petite cuillère en plastique, le regard dissimulé derrière d'énormes lunettes à monture papillon dont les verres foncent automatiquement au soleil."
"Je sais que ma chambre d'hôtel embaumera les violettes en plastique, que les draps de mon lit seront amidonnés à la perfection, que les gens m'adresseront sourires, signes de tête et que je les imiterai, consciente que tout cela est d'un dérisoire absolu.Je me tiendrai en retrait derrière ma surface corporelle, à la façon d'un hologramme, et laisserai mon enveloppe extérieure traiter de problèmes périphériques. Eux seront assis en retrait derrière leur surface corporelle, comme des hologrammes, et leurs enveloppes prêteront attention à mes problèmes périphériques. Ainsi seules les enveloppes se rencontrent, ce qui nous condamne au dérisoire absolu.".

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