Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le bruit des vagues
21 juin 2010

symbole de liberté

« Le cheval ne bouge pas.
Il attend.
Il attend une poignée d'herbes,
la fin du monde,
l'ouverture des barrières. »

(une citation de Christian Bobin
dans "la femme à venir")

DSC05192

photo juin 2010

Publicité
Publicité
20 juin 2010

en passant...

122BagueMauveFleur

Bague en pâte polymère

19 juin 2010

et regarder dehors

depuis ta fenêtre

DSC04886

Volets fermés...
Tout a l'air paisible, ici.
Endormi, peut-être ?
Ou définitivement clos ?
Abandonné ?

Photo mai 2010 sur les îles de Lérins

Si vous aussi voulez participer à cette rubrique,
consultez la règle du " jeu"... C' est par
ici !!!

18 juin 2010

cette odeur particulière de l'iode...

DSC05288

photo juin 2010

17 juin 2010

dernière lecture : passage du gué

Jean-Philippe Blondel

BlondelJeanPhilippePassageDuGue

Présentation de l'éditeur :
Fred tombe amoureux de Myriam mais Myriam, quoique troublée par Fred, aime Thomas, dont elle est enceinte depuis peu. Quand il l'apprend, Fred s'efface. L'annonce de cet heureux événement les sépare - un drame va les réunir. Face à l'intolérable détresse de Myriam et Thomas, que peut Fred ? Les aider à surmonter ce moment d'une douleur extrême ; choisir de les accompagner, corps et âme, jusqu'à l'autre rive - celle où la vie pourra reprendre : devenir, parce que l'amour emprunte parfois d'étranges chemins, le passeur du gué.
Autour de Fred, s'articulent les voix de Myriam et de Thomas, faisant de ce roman non seulement une histoire d'amour, mais une histoire de maternité et de paternité - de fraternité, au fond. Trois monologues intérieurs qui se croisent, se répondent et se heurtent - se rejoignent au coeur du roman, autour du thème de la naissance et de la mort, pour dire que chaque deuil préfigure une nouvelle aube. Une histoire qui montre comment parfois, au cours d'une existence, un être humain peut en venir à s'oublier lui-même pour permettre aux autres d'aborder des lendemains plus légers.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Beaucoup d'émotion et de souffrance. Des passages bouleversants, d'autres dérangeants, quelques-uns paisibles, aussi.
Une belle histoire triste où se joue la complexité des sentiments, racontée à tour de rôle par les trois personnages. Ce roman est émouvant, humain, subtil.
Avec tout ce que la vie peut offrir de doux et de violent. Donner et prendre.

Morceaux choisis :
Si je l'ai dans la peau, je vais l'extirper - une écharde, on la retire avec une aiguille chauffée à blanc et un coton imbibé d'antiseptique.
ça doit être quelque chose dans ce genre là, l'amitié - accepter que l'autre s'égare sur des chemins loin de vous et accepter qu'il en revienne, sans rancoeur.

Publicité
Publicité
16 juin 2010

façon dentelle

126CollierFleursTerreEmaillee

Collier en terre cuite émaillée

15 juin 2010

pivoines du jardin

DSC05166

photo juin 2010

<< On ne possède pas un jardin.
On l'accompagne,
on le devient,
on l'abandonne. >>

Philippe delerm dans le portique

14 juin 2010

deviner qui tu es...

Rien ne reflète mieux l'âme des gens
que le cadre dans lequel ils vivent."

(Alice Parizeau)

DSC05210

Alors, pour moi, s'il vous plaît... :
un zeste de vert tendre
avec du bleu, pour le ciel,
des reflets, pour l'eau,
et puis un brin de vent pour gonfler la voile des bateaux.
Et du soleil.
Maintenant je voudrais bien un peu de soleil.

(photo juin 2010 : le lac de Charavines)

12 juin 2010

j'ai trouvé un été

J'ai trouvé un été,
pas exactement celui que l'on attend encore,
mais mon immersion dans celui-ci fût douce, fleurie, colorée, apaisante.

127CollierCaneComplexeVue2

Collier en pâte polymère,
depuis une cane complexe.


la déclinaison de la cane dans un autre bijou ici 
pour l'élaboration de la cane, voir ici
pour vous en parler encore : ici
enfin, une autre vue

11 juin 2010

dernière lecture : Les hommes cruels ne courent pas les rues

Présentation de l'éditeur :
L'homme qu'elle aimait plus que tout l'a abandonnée. L'homme qui la faisait tant rêver, qui la réveillait la nuit pour l'emmener en échappée clandestine dans les meilleurs restaurants de la ville, ce don Juan impossible qui ne savait être fidèle à aucune autre qu'elle. Cet homme, c'était son père, et elle reste inconsolable depuis qu'il a été emporté par un cancer. Alors, elle décide de recommencer sa vie et s'envole pour New-York. Un soir, elle y fait la connaissance d'Allan, et dès le premier regard, une certitude l'assaille : l'homme de sa vie, c'est lui...

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Une héroïne à la recherche d'elle-même, les rêves d'une petite fille avec une relation très ambigüe (et destructrice) avec son père.
Peut-être je deviens exigente. Mais je ne suis pas conquise. Du tout.
C'est surtout que j'avais lu "embrassez-moi", et là, tous les (mêmes) ingrédients y sont. Un genre de redite...
Pourtant, c'est un roman que j'ai lu vite et avec plaisir, parce que c'est très bien écrit, parce que j'avais envie de savoir la suite, parce qu'il y a tellement de jolies phrases. Mais voilà, quand même : je suis déçue. Enfin, si c'est votre premier "Pancol", sûrement y trouverez vous votre compte.
Je dirais : un très bon roman de plage...

Morceaux choisis :
Si je n'étais pas bien polie, bien éduquée par des années de "ça se fait pas, c'est pas correct", je me précipiterais contre lui. (...) En lui mangeant la bouche, les dents, le nez, les joues, en fouillant dans son cou, dans ses oreilles, me repaissant de cette évidence : c'est lui. (...) J'avais rendez-vous et je ne le savais pas.
Que j'aime quand il me regarde avec des yeux qui m'écoutent. Qui me disent que je suis unique.

de Katherine Pancol

Pancol_Katherine_LesHommmesCruelsNeCourentPasLesRues

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 > >>
Le bruit des vagues
Publicité
Newsletter
Mes livres sur Babelio.com
Derniers commentaires
Archives
Visiteurs
Depuis la création 438 395
Publicité