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Le bruit des vagues
10 avril 2010

dernière lecture : quelque chose en lui de Bartleby

de Philippe Delerm

DelermPhilippeQuelqueChoseBartleby

Présentation de l'éditeur
Le jour où Arnold Spitzweg crée son blog, une petite révolution est en marche : l'employé de bureau discret jusqu'à l'effacement cède donc à la modernité mais sans renier ses principes. Sur la toile, à contre-courant du discours ambiant  prônant l'activité outrancière, il fait l'éloge de la lenteur et décrit l'inclination naturelle à la paresse. Contre toute attente, les écrits intimes d'Arnold Spitzweg résonnent avec force chez des milliers d'internautes : on le félicite, on le sollicite, on parle de lui à la radio... L'homme anonyme fait l'événement. Comment vivra-t-il cette subite notoriété ?

Mon sentiment au sujet de ce roman
Heu...
Ici, l'essence du bonheur simple, probablement. Pas mal d'ennui, surtout.
Peut-être intriguée à cause du fameux blog (donc des blogs en général... Donc du mien, soyons honnête...). Puis amadouée par la belle écriture de Philippe Delerm.
Mais pour l' "action", faudra aller chercher ailleurs. Quoi que la fin...
Allez, je ne vous raconterai pas ! Laissez-vous surprendre aussi ? Car n'en doutons pas, cela reste un petit plaisir simple. Mais vraiment tout simple...

Morceaux choisis :
A Paris, on ne vous demande pas de droit de douane pour exister. (...) On vous laisse dans votre bulle, au café, au restaurant, dans le métro, dans le bus. Les regards n'ont pas d'efforts à faire pour s'éviter. c'est une mécanique de la pudeur (d'autre diraient de l'indéfférence).
Bien sûr, cela doit être involontaire,mais on ne peut pas s'empêcher de penser que l'intimité dévoilée prend un certain plaisir à s'afficher. Cela fait partie de l'été.
Il ne se verrait pas dire "vous savez, je me suis mis au tai-chi". On ne se met pas au tai-chi. Ce langage est trop fluide pour être disséqué avec une méthode Assimil. Pourtant, c'est peut-être ça qu'il voudrait : une sérénité muette, enclose dans le corps et tutoyant l'espace, apprivoisant les formes et les couleurs.
Il y a là-dessous une angoisse métaphysique. Un besoin d'exister qui ne reposerait sur rien. Ca, c'est vraiment notre époque. Ca m'horripile, évidemment. Mais bizarrement, ça me concerne. (--> Donc, une question que je me pose : ne serait-ce pas là aussi une belle définition (im)pertinente des réseaux sociaux et des blogs sur internet ?)

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9 avril 2010

instant de contemplation

"Tant de mains pour transformer ce monde,
et si peu de regards pour le contempler !"

(une citation de Julien Gracq)

La_sure

Photo mars 2010

8 avril 2010

parure

" Rien n'est estimable en soi,
ni l'or, ni les perles, ni les soieries les plus fines.
Un objet, si parfait soit-il,
n'a de valeur que par le souvenir qu'il incarne. "

[Louis Lefebvre]

107_parure_amandine

Création pâte polymère

C'est une parure ...pour une mariée !
(qui savait exactement ce qu'elle voulait)

7 avril 2010

les choses...

" Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas,
c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles. "

Sénèque

ATT00013

Photo internet

6 avril 2010

Y'a pas d'lézard !

...Je préfèrerais y voir une salamandre.

106CollierSalamandre

Modèle "pour garçon"
Création polymère,
montée sur cordon en cuir

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5 avril 2010

Et regarder dehors

depuis ta fenêtre

DSC0073

Attention,
on vous observe !!!

Photo été 2008
(Roscoff dans le Finistère)

Si vous aussi voulez participer à cette rubrique,
consultez la règle du " jeu"... C' est par
ici !!!

4 avril 2010

And the winner is...

Quand même, ça fait un bien fou, surtout une première place !

Sans grande conviction, j'ai participé à un coucours photo, où je suis sortie ...gagnante !!!

Et pour le clin d'oeil, un petit film d'autres gagnantes qui laisse songeur...
C'est par là (clic).
(pour la remise des prix, j'essaierai de ne pas me casser la figure...)

3 avril 2010

"Loin des yeux, loin du coeur"

...même pas vrai !!!

DSC00620

Photo été 2009
(Portsall)

Petite pensée aussi pour mon papa...

2 avril 2010

Ah !

Cette fois j'en suis sûre :
le printemps sera bientôt là.

Pour preuve ?
l''invasion des fourmis dans ma cuisine.
Elles n'y apparaissent qu'en ce glissement de saisons :
trop tôt pour être dehors, mais déjà en alerte, à l'intérieur.

fourmi_by_math

Ceci est l'une des joies annuelles d'habiter une très vieille maison, à la campagne, avec des murs en pisé...

Nous avions eu le droit, une année, à un couple d'hirondelles qui avait fermement décidé de loger chez nous, à l'intérieur de la maison : elles rentraient par une fenêtre pour sortir par une autre, effectuant là un véritable ballet, une ronde, qui durait, durait, le temps d'un éclat de rire, d'un émerveillement, d'une stupéfaction, pour finalement s'installer sur des tuyaux, bien en hauteur, dans la chaufferie.
Difficiles à déloger, mais spectacle inoubliable !

Et puis, une autre fois, une chauve-souris, accrochée au plafond, dans le couloir. Il faisait jour. Elle dormait, alors...
...un ou deux lézards, aussi, dans le buffet,
Et puis, moins drôle, des mouches, souvent, avec le haras, à seulement quelques mètres de la maison...

C'est notre vie, ici.
Et puis, surtout, c'est de ma faute : je suis incapable de fermer portes et fenêtres dès qu'un rayon de soleil pointe le bout de son nez. J'entends les chevaux hennir, je respire, et la lumière, alors, est tellement douce...

Quant à exterminer la colonie de fourmis, dans la cuisine, cela me fend le coeur...
Il faudra bien pourtant,
parce que fermer mes fenêtres ne servira pas à grand chose...


(photo par Mathilde)

1 avril 2010

'Fait gris...

'Fait froid.

cheval_blanc_dans_la_brume
Photo hiver 2010

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