Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le bruit des vagues
11 août 2011

carte postale

AnnePoncet_Le_bruit_des_vagues_19835173

Concarneau
(Finistère Sud, photo juillet 2011)

"Au port"

Publicité
Publicité
9 août 2011

un tout petit-petit-petit rayon de soleil

un tout petit-petit-petit rayon de soleil :
on le voit, juste là, dans le reflet de l'empreinte !

2011_065CollierLeBruitDesVagues

Création en pâte polymère

8 août 2011

dernière lecture : Madame Seyerling

de Didier Decoin

Decoin Didier Mme-seyerling

Présentation de l'éditeur :
Antoine Dessangles a posé son stylo: c'est fini, il n'écrira plus. Mais personne ne le sait. Surtout pas sa femme et son éditeur auxquels il continue de jouer, non sans une certaine allégresse, la comédie du romancier.
Pour l'écrivain repenti, seuls comptent désormais les héros de la vraie vie: la jeune fille amoureuse, le boxeur de Valenciennes, l'hôtesse de l'air, le plagiste de Biarritz. Antoine les repère, les suit, entre en clandestinité pour observer ce qu'ils deviennent après la rupture, après le combat, après que l'avion s'est posé et que la plage s'est vidée en glissant dans l'arrière-saison.
C'est ce qu'il appelle collectionner les après.
Jusqu'au jour où il part pour New-York afin de s'offrir ce qu'il croit devoir être le chef d'oeuvre de sa collection, le plus poignant de tous les après: la douleur de madame Seyerling, une Noire dont la fille a été condamnée pour meurtre et exécutée.
Dans un New York encore inviolé, Antoine pénètre comme par effraction dans la vie de cette mère d'une force et d'une fragilité mystérieuses. Une vie qui cache un étonnant secret dont la découverte va faire passer l'écrivain voyeur du rôle de témoin intrigué à celui de l'acteur bouleversé.
Après Abraham de Brooklyn et John l' Enfer, Didier Decoin retourne à New York pour traquer la vérité de nos existences. Mais les tragédies de l'Histoire sont, elles aussi, du voyage.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Décidément, Didier Decoin aura été une des belles révélations de ces derniers mois : son écriture me ravit, avec des thèmes qui ne sont pas faciles. Je me laisse emporter par les récits d'un vrai conteur.
En fait, j'ai l'impression d'avoir avancé à tout-petits pas vers une rencontre presqu'essentielle.
Une de mes prochaines lectures sera très certainement "une anglaise à bicyclette", roman dont j'avais noté le titre un peu négligemment après avoir entendu une interview fort sympathique sur France info d'un auteur dont je n'avais jamais entendu parler !

Morceaux choisis :
« J'ai appris à rêver. C'est comme écrire, en plus égoïste, l'angoisse en moins. »
« Duc in altum : va vers le large, monte sur les hauteurs, dirige-toi avec audace vers les lointains. »
« La première phrase, c'est la plus importante. La locomotive. Elle entraîne tout le reste »

6 août 2011

sixième anniversaire

2011_078Collier_079BOLeBruitDesVaguesv2Pour son 6ème anniversaire,
mon journal fétiche

a organisé un petit challenge :
utiliser
l'un des tutos de ses archives

pour proposer
la création de son choix.


 

ça tombait super bien :
je venais d'y repérer le tuto de Skwizz's (son blog, ici),
et ça me démangeait d'essayer.

Je l'ai décliné à toutes les sauces,
en réservant une parure perlée pour la parution de l'article sur parole de pâte.

 

Cette fois-ci, c'est Morgane qui a accepté de "faire le modèle",
pour vous montrer comment il "tombe" :

2011_078Collier_079BOLeBruitDesVaguesV3

Je vous montre aussi les autres créas
composées à partir de cette technique "perles circus" :

 

 

...et puis, n'hésitez pas à visiter ma boutique :
quelques uns de ces bijoux, sont encore disponibles à la vente !

5 août 2011

peut-être toi, peut-être moi

 On est tous à la recherche d'une frontière,
une ligne claire entre le rêve et le réalité.

une citation de Tahar Ben Jelloun dans "L'Auberge des pauvres"

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08299

Photo juillet 2011

Publicité
Publicité
3 août 2011

dernière lecture : La grammaire est une chanson douce

de Erik Orsenna

Orsenna Erik La grammaire est une chanson douce

Présentation de l'éditeur :
Elle était là, immobile sur son lit, la petite phrase bien connue, trop connue : Je t'aime.
Trois mots maigres et pâles, si pâles. Les sept lettres ressortaient à peine sur la blancheur des draps.
Il me sembla qu'elle nous souriait, la petite phrase.
Il me sembla qu'elle nous parlait :
- Je suis un peu fatiguée. Il paraît que j'ai trop travaillé. Il faut que je me repose.
- Allons, allons, Je t'aime, lui répondit Monsieur Henri, je te connais. Depuis le temps que tu existes. Tu es solide. Quelques jours de repos et tu seras sur pieds.
Monsieur Henri était aussi bouleversé que moi.

Tout le monde dit et répète "Je t'aime". Il faut faire attention aux mots. Ne pas les répéter à tout bout de champ. Ni les employer à tort et à travers, les uns pour les autres, en racontant des mensonges. Autrement, les mots s'usent. Et parfois, il est trop tard pour les sauver.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Pourquoi ai-je emporté ce petit roman dans ma valise ? Tout simplement parce que le texte, au dos de la jaquette, m'a séduite (et je dois dire qu'à le relire, il m'enchante encore !).
Et puis je ne connaissais pas Erik Orsenna, que j'avais envie de découvrir.
Sans doute un texte se rapprochant davantage à de la poésie, ou à un petit conte à destination des enfants.
Pas franchement à mon goût, même si l'objectif de rendre la grammaire attrayante reste louable. J'en suis pour ma part depuis longtemps convaincue, préconisant à mes filles, depuis qu'elles sont toutes petites, de la considérer comme un jeu...

Morceaux choisis :
« Nos mots préférés sont des affaires intimes, comme la couleur de notre sang. »
« Vingt-cinq langues meurent chaque année ! Elles meurent faute d'avoir été parlées. Et les choses qu'elles désignent meurent avec elles. »
« Les mots, c'est comme les notes. Il ne suffit pas de les accumuler. Sans règle, pas d'harmonie. Pas de musique. Rien que des bruits »
« Les vrais amis des phrases sont comme les fabricants de colliers. Ils enfilent des perles et de l'or. Mais les mots ne sont pas seulement beaux. Ils disent la vérité. » 

Si cette lecture vous tente, je vous conseille de consulter le site evene.fr, qui fait un bel éloge de ce roman. Le lien est juste là.
Et puis ce site, vraiment bien fait, qui dit tout sur cet ouvrage. C'est par ici.
En tout cas, ce récit a l'air de bien inspirer les enfants ! (...ou peut-être plutôt leurs institutrices...) Pour preuve, ce montage vidéo, très bien réalisé, que je vous propose de découvrir... Le lien : par là.

1 août 2011

craquelures

Expériences estivales, aux effets surprenants...
Un tuto vous tenterait ?

AnnePoncet Le bruit des vagues-DSC07663 v2

effet de matière,
plaque polymère craquelée

Publicité
Publicité
<< < 1 2
Le bruit des vagues
Publicité
Newsletter
Mes livres sur Babelio.com
Derniers commentaires
Archives
Visiteurs
Depuis la création 438 493
Publicité