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Le bruit des vagues
citations
18 avril 2017

dernière lecture : En attendant Bojangles

D'Olivier Bourdeaut

61+oGp2qu0L

5 étoiles

Présentation de l'éditeur : 
Sous le regard émerveillé de leur fils, ils dansent sur "Mr. Bojangles" de Nina Simone. Leur amour est magique, vertigineux, une fête perpétuelle. Chez eux, il n’y a de place que pour le plaisir, la fantaisie et les amis.
Celle qui donne le ton, qui mène le bal, c’est la mère, feu follet imprévisible et extravagant. C’est elle qui a adopté le quatrième membre de la famille, Mademoiselle Superfétatoire, un grand oiseau exotique qui déambule dans l’appartement. C’est elle qui n’a de cesse de les entraîner dans un tourbillon de poésie et de chimères.
Un jour, pourtant, elle va trop loin. Et père et fils feront tout pour éviter l’inéluctable, pour que la fête continue, coûte que coûte.
L’amour fou n’a jamais si bien porté son nom.
L’optimisme des comédies de Capra, allié à la fantaisie de L’Écume des jours. 

Mon sentiment au sujet de ce roman
 
Un roman extraordinaire, très rythmé, très "différent", un vrai style, quoi, et une histoire contée à deux voix (un enfant et son père) par laquelle on se laisse littéralement envoûter, comme on se laisse aussi ensorceler par l'héroïne de ce récit (la mère).
Je vous conseille vraiment cette lecture, vite lue, mais totalement indélébile par la suite.
 
Morceaux choisis : 
"Papa considérait qu'une fête romantique ne pouvait porter qu'un nom féminin"
"Quand la réalité est banale et triste, inventez-moi une belle histoire, vous mentez si bien, ce serait dommage de nous en priver".
"Si tu n'es pas sage, j'allume la télévision".
"Papa m'avait dit que les Espagnols étaient des guerriers de la fête et moi j'aimais ce genre de combat avec des fleurs, des pétards et de la sangria".
Ah ! Votre petit bonus !
Un régal...

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3 avril 2017

dernière lecture : Une fille parfaite

de Mary Kubica

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Présentation de l'éditeur :
« Je la suis depuis plusieurs jours. Je sais où elle fait ses courses, où elle travaille. Je ne connais pas la couleur de ses yeux ni comment est son regard quand elle a peur. Mais je le saurai bientôt. »
Incapable de dire non au séduisant et énigmatique inconnu qu’elle vient de rencontrer dans un bar, Mia Dennett accepte de le suivre jusqu’à chez lui. Sans savoir qu’elle vient de commettre une grave erreur. Et que rien, jamais, ne sera plus comme avant. Suspense psychologique envoûtant, Une fille parfaite possède une écriture affûtée, nerveuse, qui sait faire naître peu à peu une émotion bouleversante. Dans ce récit à trois voix, les apparences sont trompeuses, jusqu’à la révélation finale : un uppercut en plein cœur.
Vous n’oublierez pas Une fille parfaite. Vous n’oublierez pas Mia.
Les créateurs de la série TV, True Detective, ont pris une option sur ce roman.
 
Mon sentiment au sujet de ce roman :
Généralement, je ne suis pas très fan de ce genre de thriller, j'en lis d'ailleurs très peu. Mais là, je me suis complètement laissée emporter, sans doute parce qu'll s'agit d'un huis clos, dans une nature féroce, un cadre très particulier. Rien de glauque et pourtant, quel lieu inhospitalier. La Nature dans toute sa férocité, et l'homme, aussi.
Jusqu'au bout, j'ai adoré. Et je me suis laissée surprendre. Par l'intrigue, mais surtout par une fin incroyable.
 
Morceaux choisis :
(...) "Etre une mauvais mère est un jeu d'enfant comparé au fait d'être une bonne mère, ce qui représente une lutte de tous les instants" (...).
 

 

26 janvier 2017

émotion

"Au commencement
était l'émotion"

Louis Ferdinand Céline

DSC07480

Plaque en pâte polymère
avant découpe

(transfert, peinture acrylique, Pearlex, texturage)

17 novembre 2016

dernière lecture : Le livre des Baltimore

de Joël Dicker

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Présentation de l'éditeur 
Joël Dicker ne quitte pas la côte Est. Le Livre des Baltimore, son prochain roman, en librairie le 1er octobre, se situe toujours à flanc d’océan. Et l’on retrouve surtout Marcus Goldman en personne, le héros de La Vérité sur l’affaire Harry Quebert.
Il quitte pour cela New York et son hiver glacé pour la touffeur tropicale de Boca Raton en Floride. C’est là qu’il décide d’écrire sur sa propre famille. Marcus vient des Goldman de Montclair : classe moyenne, maison banale à Montclair, petite ville dans la banlieue de New York. Rues à la Hopper, avec maisons de briques. Marcus a grandi dans la fascination pour l’autre branche de la famille, les Goldman de Baltimore, le grand port sur l’Atlantique, porte d’entrée historique pour de nombreux migrants. Ces Goldman-là habitent une grande demeure somptueuse dans la banlieue riche de la ville. L’oncle Saul est un avocat de renom. Tante Anita est médecin à l’Hôpital John Hopkins. Il y a aussi Hillel, leur fils, provocateur inspiré, et Woody, fils adopté par le couple, sauvé des gangs et qui rêve d’une carrière dans le football.

Mon sentiment au sujet de ce roman : 
J'ai de plus en plus de difficultés à rédiger mes petites synthèses de lecture qui, pourtant, ne me prennent pas plus de temps que ça... C'est "juste" que je ne sais pas formuler exactement les choses comme je le voudrais, c'est à dire basculer par des mots ce qui se passe en moi pendant ma lecture. C'est de l'ordre du ressenti, de l'éphémère, donc, et le décrire est très inconfortable.
Ce roman-ci nous fait passer par des hauts et des bas, et déclenche pas mal d'émotions, imprime de belles (et moins belles) images dans nos neurones. Il est assez terrible, profond, et pourtant l'homme qui raconte ici son histoire est en paix. C'est troublant.
J'ai mille fois préféré ce roman-ci à "La vérité sur Harry Québert". Ici, l'histoire est intense, tragique, crédible. D'ailleurs elle est vraie.
Peut-être.

Morceaux choisis : 
"Les souvenirs, c'est dans la tête. Le reste n'est que de l'encombrement".
"Beaucoup d'entre nous cherchons à donner du sens à nos vies, mais nos vies n'ont de sens que si nous sommes capables d'accomplir ces trois destinées : aimer, être aimé et savoir pardonner. Le reste n'est que du temps perdu."
30 octobre 2016

:)

"La joie ne vient pas de ce que vous faites :
elle jaillit dans ce que vous accomplissez,
se diffuse dans vos actions
et agit dans ce monde 
depuis le fond de vous-même".

Eckart Tolle

2016-088CollierLeBruitDesVagues

2016-085BrocheLeBruitDesVagues

Créations en pâte polymère
(collier et broche)

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21 octobre 2016

commencement

"Au commencement,
était l'émotion".

une citation de Louis-Ferdinand Celine

2016-087CollierLeBruitDesVagues

Création en pâte polymère,
serti en perles de rocailles (Miyuki)

19 octobre 2016

dernière lecture : En cas de bonheur

de David Foenkinos

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Présentation de l'éditeur :
Claire et Jean-Jacques vivent ensemble depuis huit ans. Mais, leur tendresse apparente, qui les fait citer en exemple par leurs amis, cache la véritable érosion de leur amour... Dissection d'un couple pas comme les autres... un couple comme tous les autres.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
C'est un roman assez vite lu, qui parle de la vie de deux personnes un peu perdues. Roman ennuyeux,
et qui ne nous apprend rien.
J'aurais donc mieux fait de m'abstenir et me fier aux commentaires des lecteurs de Babelio.
Préciser que j'ai beaucoup aimé l'écriture de David Foenkinos dans plusieurs autres romans (La délicatesse, Charlotte).
Ici, je suis déçue...
 
Morceaux choisis :
"Personne ne savait que faire en cas de bonheur."
"C'était peut-être ce qu'il fallait chercher, pour se sentir serein : des éclipses de beauté dans les propositions simples de la vie."
"Il trouva que les femmes, de nos jours, étaient vraiment formidables. Elles vous aimaient ou elles ne vous aimaient pas et, au bout du compte, les hommes n'avaient plus grand chose à faire. Ils n'avaient qu'à être eux-mémes, gentiment lâches, honnêtement mous, et à attendre qu'une femme s'allonge ou non sur leur chemin. On perdait moins de temps ; si les couples divorcaient plus vite il en allait de même avec les râteaux : on avait à peine le temps de regarder une fille que déjà elle nous expliquait qu'il était hors de question d'envisager quoi que ce soit."
"Forcément, on se fait toujours un peu avoir par ce que les gens pensent de nous."
"S'ils sont éphémères, les grands bonheurs sont pires que les grands malheurs."
"Au moment où nous sommes pris en photo, nous ne saurons jamais qui aura cette photo entre les mains les mois, les années, et les siècles suivants. Quelles seront les réactions suscitées par cette photo, les incidences sur la vie des gens ?"
"Partout, la beauté pouvait se révéler. Il suffisait de laisser du temps à notre œil, de ne pas se laisser étouffer par la première impression."
"(...) il se dégageait parfois une beauté rare de l'insignifiance des choses."
O"n passe notre temps à aimer des souvenirs qui, eux, nous oublient. Chaque grain de nostalgie est un rétrécissement du chemin nous menant à la mort."
16 octobre 2016

le bruit des vagues

"Il y a, dans la vie, 
tellement de choses 
susceptibles de nous rendre heureux" 

Arthur Rubinstein
pianiste américain (1887-1982)

 

2016-077CollierLeBruitDesVagues

 

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Colliers en pâte polymère
les trois derniers sertis en perles de rocaille

 

***

 

J'avais envie d'expérimenter toutes sortes de choses "pour voir".
J'en ai fait des petits galets
qui m'ont fait penser à la mer
à l'été
au bruit des vagues,
et ça m'a fait du bien...

;)

 

 

 

2 octobre 2016

contradiction (?)

"Au fond
les choses sont simples
quand on y met de la bonne volonté"

Jean Giono

LeBruitDesVagues-DSC07330

Plaque en pâte polymère

***

et ses bijoux !

2016-082BrocheLeBruitDesVagues

2016-089BrocheLeBruitDesVagues

 

broches en pâte polymère

22 septembre 2016

quelles sensations ?

« En fait,
je ne travaille pour rien d’autre
que pour la sensation
que j’ai en travaillant. »

une citation de John Gay, poête et dramaturge anglais

2016-075CollierLeBruitDesVagues

2016-080CollierLeBruitDesVagues

Créations en pâte polymère, 
premier collier avec serti en perles de rocailles

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