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Le bruit des vagues
9 mars 2010

C'est bien beau, tout ça...

mais j'en fais quoi, moi, maintenant, hein ?
(si au moins cela pouvait faire venir le printemps !!!)

plaque_en_fimo_avec_fleurs_de_printemps

Plaque en pâte fimo (...encore crue).
(pour faire les fleurs, c'est par ici !)

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8 mars 2010

Et c'est reparti !

La neige n'est plus un don du ciel.
Elle tombe exactement aux endroits marqués par les stations d'hiver.

[Jean Baudrillard]

neige_en_mars_2010

photo mars 2010

7 mars 2010

dernière lecture : ce que je sais de Vera Candida

Ce que je sais de Vera Candida

Ovald_V_roniqueCeQueJeSaisDeCandidaVera

de Véronique Ovaldé

Présentation de l'éditeur
Quelque part dans une Amérique du Sud imaginaire, trois femmes d’une même lignée semblent promises au même destin : enfanter une fille et ne pouvoir jamais révéler le nom du père. Elles se nomment Rose, Violette et Vera Candida. Elles sont toutes éprises de liberté mais enclines à la mélancolie, téméraires mais sujettes aux fatalités propres à leur sexe. Parmi elles, seule Vera Candida ose penser qu’un destin, cela se brise. Elle fuit l’île de Vatapuna dès sa quinzième année et part pour Lahomeria, où elle rêve d’une vie sans passé. Un certain Itxaga, journaliste à L’Indépendant, va grandement bouleverser cet espoir.
Un ton d’une vitalité inouïe, un rythme proprement effréné et une écriture enchantée. C’est ce qu’il fallait pour donner à cette fable la portée d’une histoire universelle : l’histoire des femmes avec leurs hommes, des femmes avec leurs enfants. L’histoire de l’amour en somme, déplacée dans l’univers d’un conte tropical, où Véronique Ovaldé a rassemblé tous les thèmes – et les êtres – qui lui sont chers.

Lire la suite...

6 mars 2010

Semer

des petits cailloux...

(franchement, est-ce que ça sert vraiment à quelque chose ?...)

cailloux_en_terre_cuite

galets en terre cuite cirée,
motifs émaillés

5 mars 2010

J'ai un doute ?

La recette de l'osso bucco (recette à tomber à la renverse...) est-elle itailienne ou est-elle espagnole ?

Enfin... même dans une cuisine "bien française", les saveurs se subliment parfaitement. Essayez, et racontez-moi...
Pour le plat : 6 carottes – 2 gros oignons – 2 branches de céleri – 1,5 kg environ de jarret de veau (6 rouelles) – 4 c. à soupe d’huile d’olive – 1 boîte de tomates concassées (400 g) – 30 cl de vin blanc – 1 tablette de bouillon de bœuf ou de bouillon de volaille – 2 c. à soupe de concentré de tomates (une petite boîte) – 1 bouquet garni (persil, thym, laurier) – sel et poivre. Pour la crémolata : 2 gousses d’ail – 1 bonne poignée de persil – 2 branches de romarin – 6 feuilles de sauge fraîche – le zeste d’un citron – le zeste d’une ½ orange. peler et émincer les carottes et les oignons – couper le céleri en petits morceaux – dans une grande cocotte, faire revenir 10 mn environ les rouelles de veau dans de l’huile d’olive jusqu’à ce qu’elles soient dorées des deux côtés – retirer la viande et mettre les légumes à la place – les faire « fondre » quelques instants à feu vif, en remuant – remettre la viande – ajouter les tomates concassées – laisser cuire une dizaine de minutes à découvert – pendant ce temps, préparer un bouillon avec 30 cl d’eau, le vin blanc, la tablette – porter à ébullition – allumer votre four – mettre ensemble la viande, les légumes, le bouillon, du sel et du poivre dans la cocotte (ou, mieux, un plat en terre cuite type « diable ») – mettre au four pour au moins deux heures (la viande doit être presque confite) – préparer la crémolata en mélangeant ensemble dans un bol 2 gousses d’ail mixées, le persil, la sauge et le romarin également mixés, les zestes d’agrumes – ajouter dans le plat et bien mélanger juste au moment de servir.

Ce plat est délicieux accompagné d’un risotto nature, ou d'un risotto à la courge et au bacon fumé croustillant (encore de saison… la recette là).

Vous me dites ?

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4 mars 2010

Encadrements

"N'importe quel objet peut être un objet d'art
pour peu qu'on l'entoure d'un cadre."

Boris Vian

mousse

photo automne 2008

3 mars 2010

dernière lecture : seule Venise

Seule Venise
GallayClaudieSeuleVenise
de Claudie Gallay

Présentation de l'éditeur
Elle n'a pas choisi Venise. Cela s'est présenté comme ça. Elle a vidé son compte bancaire, réservé une chambre dans un palais du Castello. Noël approche, et la cité s'enfonce dans les brumes. Un vieux prince russe, rescapé des tourbillons de l'Histoire, une jeune danseuse, un libraire amoureux des mots... Les rencontres se succèdent, les digues intérieures s'affaissent, et Venise se dévoile, secrète et troublante. Amants perdus et retrouvés errent de rios en venelles, tandis que lentement s'éloigne, dans le brouillard, la silhouette du peintre Zoran Music.

Lire la suite...

2 mars 2010

Regarder au loin..

" L'horizon est dans les yeux
et non dans la réalité. "

[Une citation d’Angel Ganivet]

Parm_nie

photo janvier 2010
(Parménie en Isère)

1 mars 2010

Dans la foulée...

Et juste pour vous encourager à tenter d'autres formes et d'autres couleurs...

Avec les "restes" de pâte utilisée pour le tuto de vendredi dernier,
j'ai confectionné une nouvelle broche complètement différente de la première.

099BrocheLonardDeVinciVersion2

Broche en pâte polymère
Transfert verni,
Serti en perles de rocaille,
Pendouillis rocaille et fimo.

Pour les explications techniques, (re)voir ici.

L'un des avantages du papier transfert "pré-cuit" :
la possibilité de l'utiliser sur un base arrondie.
Pourquoi pas dès lors les tester par exemple sur des stylos ?

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