rorschachien
pfff, ben c'est super dur à dire, ça,
et puis, ça porterait presque déjà à confusion, non ?
Bon bref, tout ça pour dire que ce bracelet me fait penser à ces fameuses tâches, là,
et qui ressemblent à quoi, hein ?
heu..., masques africains ?
heu..., , animal en plein envol ?
heu..., , motifs imprimés sur tissu (...alors là, trop facile !) ?
heu..., , le messie ouvrant les bras face à sa foule d'adeptes ? (...bon, là, faut le regarder à l'envers, et puis après, ça risque de devenir sujet à réflexion très-trop-rorchachitruc... )
MMMhhhh, et vous ?
;)
Création tout polymère
(ah oui, et puis il est entièrement réversible, ce bracelet-là...
comme ça, si on veut rester dans la version "sans se poser de questions",
ben c'est à l'envers qu'il faut le porter !)
En tout cas, pour moi, il évoque surtout une journée où j'ai tellement rigolé que je n'ai pas fait grand chose de bien, sinon :
- apprendre avec Murielle (perlimpimpin) la technique pour faire apparaître ces formes délirantes, je vous en resservirai, promis, j'adore ça,
- utiliser dans la foulée l'emporte-pièce plus ou moins troqué avec ma lulu,
- porter à mon bras un joli bracelet composé par Tewee,
- partager un repas où des gens parlaient de la Bretagne amoureusement (yes !),
- apprécier la chaleur de l'accueil chez Gadouille,
- et retrouver mes "copinettes" fimoteuses : Sylvie (et ses jolies nouvelles lunettes-fun), Crème (et sa fameuse double crème aux chocolats), Chifonie (et son téléphone portable), Tewee (et ses éclats de rire), Danielle (et ses lunettes qui lui tombent sur le bout du nez), Murielle (et Ror-machin), Luce (et ses grimaces), Valérie (et son monstrueux retard), et moi (no comment...),
Allez, je vous montre juste quelques photos, c'était trop-top-génial-à-refaire-comme-d'hab ! (d'autres photos de la rencontre chez Tewee et Luce) (et puis, comme d'hab', un clic sur la photo pour voir en grand)
Bon, et puis, pour poursuivre dans l'article "structuré" (*) :
(*) Pour ma défense,
la journée était organisée dans le cadre des "remues-méninges", de l'association "lézargil"
d'après des compositions de Dominique.
...Normal qu'après "ça", ça cogite, non ?
et pas spécialement de façon "organisée", cérébralement parlant...
plus loin
'faut toujours un responsable...
Tout ça, c'est de la faute de Maud.
Il faut dire aussi que sa petite recette de cupcakes au potimarron et à la crème de marron (*et profitez-en pour voter ! <-- c'est là (clic) ) tombait à pic ! Parce que cette année, heureusement nous avons la grange pour stocker les courges (et je ne plaisante qu'à moitié...). Bref, ses petits gâteaux m'ont fait de l'oeil, et me voilà trucidant ma première courge de l'année pour réaliser de délicieux petits biscuits pour le goûter.
Bon, si vous lisez d'un peu plus près sa recette, vous observerez aussi qu'il faut seulement 100 g de purée de courge, ce qui correspond (à peine...) à deux cuillères à soupe. ...Vous voyez le problème ? Soit je multiplie les proportions par 10, soit je dégote dare-dare d'autres recettes à base de courge (mais il y en a plein sur son site)...
Pour la crème de marron, je l'ai aussi confectionnée moi-même, et les filles m'en réclament encore, ce qui est plutôt bon signe... Ingrédients : 1 bocal ou une boîte de conserve de marrons préparés (sinon, des chataîgnes ramassées, pelées et cuites à l'eau, ce qui, c'est sûr, a un autre charme, mais demande d'une part une grande balade en forêt et d'autre part, un brin de patience à l'épluchage...) - environ 300 g de sucre - de l'eau - de la vanille liquide. mixer les marrons en fine purée - mettre le sucre dans une casserole avec un peu d'eau pour obtenir un sirop épais de sucre - faire cuire à feu vif et ajouter d'abord les marrons mixés puis une bonne cuillère à soupe de vanille liquide, et ce avant que le sucre ne se transforme en caramel - continuer la cuisson à feu vif, sans cesser de remuer (la crème de marron va s'épaissir et foncer au bout d'environ 15 mn).
On peut même la mettre en pot en augmentant les proportions pour la servir comme de la confiture !
(les justes proportions pour une dizaine de pots : pour 2 kg de marrons - 1 gousse de vanille - de l'eau - 1,8 kg de sucre environ).
onomatopées
Beuh... (pas ce que je voulais)
Bouuuu... (quand même, j'aurais mieux aimé...)
Bah... (tant pis, c'est pas si mal...)
Bon... (allez, j'arrête de me poser des questions...)
Pffff... (décidément, on ne se changera pas !)
Et tout ça pour dire : j'voulais "sortir" des tesselles,
et puis "ça" m'a rattrapée...
;)
Colliers en pâte polymère,
toujours depuis la même cane...
et au final, en forme de "bip-bip-bip"
je ne suis pas
je ne suis pas complètement obsédée de la tesselle
(...quoi que)
Donc, pour changer : une broche
(mmhhh, oui, c'est vrai, un peu "carrée", peut-être...)
création en pâte polymère
"Certains ont des malheurs ;
d'autres, des obsessions.
Lesquels sont le plus à plaindre ?"
[une citation d'Emil Michel Cioran - Extrait de "De l'inconvénient d'être né"]
dernière lecture : mal de pierres
de Milena Agus
Présentation de l'éditeur :
Au centre, l'héroïne: jeune Sarde étrange "aux longs cheveux noirs et aux yeux immenses". Toujours en décalage, toujours à contretemps, toujours à côté de sa propre vie... A l'arrière-plan, les personnages secondaires, peints avec une touche d'une extraordinaire finesse: le mari, épousé par raison pendant la Seconde Guerre, sensuel taciturne à jamais mal connu; le Rescapé, brève rencontre sur le Continent, à l'empreinte indélébile; le fils, inespéré, et futur pianiste; enfin, la petite-fille, narratrice de cette histoire, la seule qui permettra à l'héroïne de se révéler dans sa vérité. Mais sait-on jamais tout de quelqu'un, aussi proche soit-il...
Mon sentiment au sujet de ce roman :
L'écriture de Milena Agus ravit. Elle coule de source, comme on dit.
Et l'histoire de cette femme sarde, qui aura toute sa vie été en quête de l'amour fou, est à la fois douce et forte. Ellle nous rappelle qu'il suffit souvent d'un rien pour donner la force de poursuivre sa route...
Morceaux choisis :
" Si je devais ne jamais te rencontrer, fais qu'au moins, je sente le manque de toi (citation dans le prologue)."
" La nostalgie, c'est de la tristesse, mais c'est aussi un peu de bonheur ".
" Grand-mère s'étonnait toujours de la bizarrerie de l'amour qui, s'il ne veut pas venir, ne vient pas au lit, ni même à force de gentillesse et d'attentions, et il était étrange qu'on n'eût justement aucun moyen de le provoquer alors que c'était la chose la plus importante".