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Le bruit des vagues

3 septembre 2011

la fréquentation d'un bois

La fréquentation d'un bois, d'une montagne, d'un rivage
apporte quelque chose de formidablement ressourçant,
peut-être parce qu'elle nous permet de nous caler
sur le rythme des saisons,

ce qui doit contribuer à l'équilibre.

David Servan-Schreiber,
dans "On peut se dire au revoir plusieurs fois"

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC07909

Photo printemps 2011

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1 septembre 2011

le soleil !

Le soleil ?
Il est là :
pile au milieu

2011-100CollierLeBruitDesVagues

Création en pâte polymère

Cette création est disponible en boutique

31 août 2011

tatie

 DSC08323

- Dis, Tatie, on peut en faire un, nous aussi, collier en fimo ?
- Mais bien sûr, ma chérie ! Va chercher ta soeur, et choisissez vos couleurs.
- Ah tiens, tu as vu, on a presque pris les mêmes, avec Juliette !
- Je pourrai aussi mettre des trucs qui brillent, là, dessus ?
   (comprendre des strass...)
- Et moi percer toute seule mes perles ?
- Mais oui, mais oui...
 (heu...pas sûre que maman sera bien contente, ça pique vraiment, ce truc-là !)
- Pourquoi y'a toutes ces traces ?
- J'ai envie de faire des ronds !
- Et moi, des fleurs !
- ça colle, non ?
- Je peux utiliser ta lame qui coupe bien ?
- On peut mettre du doré ?
- C'est long, à cuire ?

- Bon, on y va, alors ? Je vous montre, et vous faites pareil !

...et c'est parti : 

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Le résultat ?
prometteur, je trouve !!!
(prudentes, elles m'ont tout de même confié le soin du montage...)

   Le collier de Charlotte (5 ans)                                                   et celui de Juliette (7 ans)

2011_DSC08377CollierEnfantLeBruitDesVagues 2011_DSC08375CollierEnfantLeBruitDesVagues

Et je vous montre aussi leur "modèle"

2011_104CollierLeBruitDesVagues

Colliers en pâte polymère,
avec cire à dorer et strass,
montage sur fil à scoubidous et perles de rocaille

29 août 2011

pur plaisir...

2011-098CollierLeBruitDesVagues V1

Collier en pâte polymère
selon la technique de Julie Picarello

 

Cette création est disponible en boutique

28 août 2011

la tête dans les étoiles

 "Les étoiles, au dessus de ma tête,
sont toujours placées au même endroit,

le jour, elles sont
et pourtant je ne les vois pas."

Claudie Gallay
dans "L'amour est une île"

AnnePoncet Le bruit des vagues-DSC07135

Photo avril 2011

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26 août 2011

notre amie Julie

Elle est sympa, notre amie Julie !
Elle donne envie au fimoteuses de se retrouver !

rien que pour ça, son livre a du bon...

********************

Depuis quelques temps, Tewee nous régale en nous montrant les créations
que lui a inspiré la technique si particulière de Julie Picarello

(elle fait partie des chanceuses à posséder le livre de la dame...).
Mais là où elle est adorable, c'est qu'elle montre aussi aux copines comment s'y prendre !

Et voilà encore une occasion
pour un fimo-papotage-grignotage
où il fait bon se retrouver...

Avec Crème et Tewee
DSC08342_1

mais aussi Marianne (qui venait de Normandie !)
DSC08342_2

Les plaques que nous avons réalisées :

Celle de Tewee :
DSC08346

Celle de Crème :
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Celle de Marianne :
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Et la mienne :
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D'autres photos de la rencontre sont déjà disponibles sur le blog de Tewee.
J'en profite aussi pour te remercier pour ce très agréable moment partagé !
...et puis, tu as vu, je n'ai pas mis de photos "compromettantes", moi !   ;)
...en fait, j'en avais pas !!!   ;(

25 août 2011

carte postale

AnnePoncet_Le_bruit_des_vagues_DSC08195

Photo juillet 2011
(Concarneau, Finistère Sud)

23 août 2011

dernière lecture : Les chaussures italiennes

de Henning Mankell

Mankell_Henning_Les_chaussures_italiennes

Présentation de l'éditeur :
A soixante-six ans, Fredrik Welin vit reclus depuis une décennie sur une île de la Baltique avec pour seule compagnie un chat et un chien et pour seules visites celles du facteur de l’archipel. Depuis qu’une tragique erreur a brisé sa carrière de chirurgien, il s’est isolé des hommes. Pour se prouver qu’il est encore en vie, il creuse un trou dans la glace et s’y immerge chaque matin. Au solstice d’hiver, cette routine est interrompue par l’intrusion d’Harriet, la femme qu’il a aimée et abandonnée quarante ans plus tôt. Fredrik ne le sait pas encore, mais sa vie vient juste de recommencer.
Le temps de deux solstices d’hiver et d’un superbe solstice d’été, dans un espace compris entre une maison, une île, une forêt, une caravane, Mankell nous révèle une facette peu connue de son talent avec ce récit sobre, intime, vibrant, sur les hommes et les femmes, la solitude et la peur, l’amour et la rédemption.

Mon sentiment au sujet de ce roman :
Ce roman aura été un véritable petit régal : l'histoire d'un homme qui se remet tout simplement à vivre...
Avec une atmosphère très particulière : beaucoup de retenue, de paix, de douceur et de poésie, de violence et de solitude, aussi : la vie d'un reclus dans un univers fantastique, une île hors du temps dans un monde contemporain, une fille (belle), une autre (vengeresse), des chaussures (parfaitement incongrues) et tellement d'autres petits bonheurs distillés au fil des pages.
C'est beau, marquant, oserais-je dire inoubliable ?
(...un genre de conte, à lire plutôt en hiver, sous de douillettes couvertures...)

Morceaux choisis :
« Si j'ai quelque chose à dire, je le dis. Je ne crois pas qu'on doive tout partager. Si on fouille trop loin dans le coeur des autres, on risque de détruire l'amitié. »
(Cette première citation, vraiment, je l'aime ! Car je la trouve franchement à méditer en cette glorieuse aire facebookienne !!!)

« Il vaut mieux s'approcher des autres lentement. Si on va trop vite, on risque la collision ou le naufrage. »
« Il est aussi facile de se perdre à l'intérieur de soi que sur les chemins des bois ou dans les rues des villes. »
« Quand la chaussure va, on ne pense pas au pied. » 
« La vie tourne rarement comme on l'avait imaginé. »
« La nuit d'hiver était étoilée et immobile. Parfois, quand je vois un ciel comme celui-là, je regrette de ne pas être compositeur. »

Et puis, un passage un peu plus long :
"Des promesses, on en reçoit tant. On s'en fait à soi-même. Les autres nous en font. On a les politiciens qui nous parlent d'une vie meilleure pour les vieux, d'un hôpital où personne n'aura plus d'escarres ; on a les banquiers qui nous promettent des intérêts plus élevés, les produits qui nous promettent qu'on va perdre du poids, les crèmes qui nous promettent une vieillesse avec moins de rides. Vivre, ce n'est jamais qu'avancer dans son petit bateau au milieu d'un flot de promesses variées à l'infini. Quelles sont celles dont on se souvient ? On oublie celles qu'on voudrait se rappeler et on se souvient de celles qu'on préfèrerait oublier pour toujours. Les promesses trahies sont comme des ombres qui dansent autour de toi au crépuscule."

19 août 2011

un jour...

un jour,
n'en doutez pas,
je me pendrai à votre cou.

2011-077CollierLeBruitDesVagues

collier en pâte polymère
(technique du hidden magic et patine acrylique dorée)

18 août 2011

ma préférence

 

Dans le méli-mélo,
j'ai toujours préféré le meli.

(une citation de Jean-François Deniau)

AnnePoncet Le bruit des vagues DSC08167

photo juillet 2011
(sur le port, Douarnenez)

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