dernière lecture : Des cornichons au chocolat
de Philippe Labro
Présentation de l'éditeur ;
Stéphanie a 13 ans, un chat confident nommé Garfunkel, du culot, des problèmes - parmi lesquels ses mauvaises notes à la Ferme (le lycée) et la mésentente de ses parents - un goût discutable pour les sandwiches aux cornichons et au chocolat, une vision dérangeante sur les adultes et un style et une verve inimitables...
En 1983, Philippe Labro avait préféré s'effacer derrière ce texte que lui avait inspiré une personne très proche et présenter 'Des cornichons au chocolat' comme le journal d'une jeune écolière, Stéphanie. Mais aujourd'hui pour que les lecteurs comprennent mieux son cheminement romanesque et l'importance de ce texte qui forme avec 'Manuela' et 'Franz et Clara', une sorte de trilogie féminine sur l'adolescence et la naissance du sentiment amoureux, Philippe Labro a eu à coeur de se dévoiler en rééditant ce texte qui lui est si cher.
Mon sentiment au sujet de ce roman :
Bah... Ras, je dirais (donc rien à dire...). Je suis trop loin de tout ça, sans doute...
(si vous devez ne lire qu'un roman de Philippe Labro : "Franz et Clara" est magnifique !)
Morceaux choisis :
« Pleurer s’il n’y a personne qui vous console, ça ne vaut pas la peine ».
« ça n’arrive pas souvent de dire merci à quelqu’un pour quelque chose qu’il vous a donné quand il s’agit d’une chose qu’on peut même pas toucher de ses deux mains ».
« L’amour, ça prend du temps ».