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Le bruit des vagues
28 février 2011

posée là

Photographier
c'est mettre sur la même ligne de mire
la tête, l'oeil et le coeur.

 

[Henri Cartier-Bresson]

 

AnnePoncet_Le_bruit_des_vagues_Photo2011_007_Feuille

 

photo février 2011

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27 février 2011

il y a des jours comme ça...

 

2011_012Collier_Le_bruit_des_vagues

Collier en pâte polymère

26 février 2011

dernière lecture : Le pays de l'absence

de Christine Orban

OrbanChristinele_pays_de_l_absence

Présentation de l'éditeur :
Et si un jour nous devenions les parents de nos parents ? Si irrémédiablement, les rôles s'inversaient avec le temps ? Avec justesse et sensibilité, tendresse et humour, Christine Orban nous raconte une histoire qui forcément nous rappelle quelque chose de nos vies.

Mon sentiment au sujet de ce roman
C'est un roman que j'ai lu très vite.
J'aime l'écriture de Christine Orban, qui aborde sereinement tous les sujets, même (surtout ?) les plus graves. Ici, sous une apparente légèreté, le texte est poignant, éprouvant, même, et le sujet triste (la maladie d'Alzheimer).
Je n'avais pas réalisé jusqu'ici que l'auteur, dans chacun de ses romans, évoque sa propre vie, qui ressemble à celle de tout le monde, Sans doute est-ce justement cela qui touche...

Morceaux choisis :
"Le plus beau cadeau qu'une mère puisse offrir à ses enfants, c'est d'être heureuse. Ce n'est pas le plus simple. On ne peut pas en vouloir à une mère de ne pas l'être, mais on peut lui en vouloir de le dire à tout bout de champ. Apprendre le silence. Apprendre à retenir la parole. A cacher la souffrance."
"Je ne tiendrai debout dans la vie qu'en m'appuyant sur quelque chose de l'enfance."
"Je préfère mon agacement au renoncement."

Et un passage, un peu plus long : « Minuit. Tandis que je travaille, tu as fait irruption dans mon bureau traînant une couverture, un pull panthère noué autour du cou sur ta chemise de nuit rose pâle pour me dire que tu as froid. Je te raccompagne dans ta chambre. Tu es si frêle, je n’ose même plus poser une main sur ton épaule de peur de te bousculer. Tu avances un pied devant l’autre, centimètre par centimètre…
J’ignorais que la fin ressemble au commencement, que les mamans finissent par devenir des enfants, que les plus aguerries d’entre elles, celles qui furent avocates ou femmes d’affaires se recroquevillent un jour et ne savent parfois même plus marcher. Jamais je n’ai eu l’impression d’avoir un appartement aussi grand, le chemin n’en finit pas. »

25 février 2011

tu regardes ailleurs...

Comment veux-tu que j’entre dans tes yeux
quand tu regardes ailleurs ?

 

Emmanuelle Pagano, dans "L’absence d’oiseaux d’eau"

 

 

2011_027Collier_Le_bruit_des_vagues

 

Création en pâte polymère

24 février 2011

aujourd'hui est un cadeau

Hier est passé,
aujourd'hui est un cadeau
et demain est un mystère

(dicton)

AnnePoncet_Le_bruit_des_vagues_Photo2011_006_Gramin_es

photo février 2011

(graminées sauvages)

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22 février 2011

ici, c'est ma maison

mais la vôtre, aussi...

"Nous avons tous le pouvoir de changer,
alors, qu'est-ce qu'on attend ?"

(vous pourrez visIonner le film en entier,
en cliquant sur l'hyperlien qui s'affiche à la fin de la bande annonce)

21 février 2011

ici aussi ?

> Lorsque vous lui ouvrez la porte,
la magie est partout.

[une citation d'Olivier Lockert] 

2011_031Bracelet_D_tail1_Le_bruit_des_vagues 2011_031Bracelet_D_tail2_Le_bruit_des_vagues

2011_031Bracelet_D_tail3_Le_bruit_des_vagues 2011_031Bracelet_D_tail4_Le_bruit_des_vagues

La technique du hidden magic, ici

19 février 2011

le premier monde qui me fût donné

" Voilà l'image qu'aujourd'hui j'ai de moi :
je suis un arbre.
Un jour, je l'ai dit résolument : je suis un arbre,
sédentaire par nature, enracinée par l'écheveau de mes affections,
incapable de quitter le premier monde qui me fut donné,
condamnée à rester, plantée,
mais pour autant féconde et tutélaire,
propulsant vers le ciel cent branches portant bourgeons,
dans un mouvement de respiration continue,
dans la joie de désirer,
avec une énergie si immense et vorace
que je la cache pour ne pas être effrayante. "

(Alice Fernay, dans "Les autres")

2011_028_29___30Miroirs__Le_bruit_des_vagues_vue2

3 miroirs assortis, avec décors en pâte polymère,
toutes techniques associées.

Dimension : 30 X 30 cm.

2011_029Miroir__Le_bruit_des_vagues_vue2 2011_028Miroir__Le_bruit_des_vagues_vue2 2011_030Miroir__Le_bruit_des_vagues_vue2

Vous pouvez les voir en grand en cliquant sur les photos.
Ces créations ne sont pas disponibles à la vente.

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MA BOUTIQUE EN LIGNE : ICI

18 février 2011

dernière lecture : soie

d'Alessandro Baricco

BarricoAlessandroSoie

Présentation de l'éditeur :
Vers 1860, pour sauver les élevages de vers à soie contaminés par une épidémie, Hervé Joncour entreprend quatre expéditions au Japon pour acheter des oeufs sains. Entre les monts du Vivarais et le Japon, c'est le choc de deux mondes, une histoire d'amour et de guerre, une alchimie merveilleuse qui tisse le roman de fils impalpables. Des voyages longs et dangereux, des amours impossibles qui se poursuivent sans jamais avoir commencé, des personnages de désirs et de passions, le velours d'une voix, la sacralisation d'un tissu magnifique et sensuel, et la lenteur, la lenteur des saisons et du temps immuable.
Soie, publié en Italie en 1996 et en France en 1997, est devenu en quelques mois un roman culte - succès mérité pour le plus raffiné des jeunes écrivains italiens.

Lire la suite...
17 février 2011

notre équilibre poétique

"Aimons la neige ! 
Sinon, nous risquerions de briser
notre équilibre poétique
et d'oublier notre condition humaine."

(Francis Bossus)

AnnePoncet_Le_bruit_des_vagues_Photo2011_005_Neige

Photo hiver 2011

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