d'Agnès Abécassis
Présentation de l'éditeur :
Anoushka est une jeune auteur de thrillers. Enfin, jeune, c'est ce qu'elle croyait, avant qu'une succession de microévénements humiliants se produisent dans sa vie, lui faisant brutalement prendre conscience qu'elle a déjà trente-six ans. C'est-à-dire techniquement, presque quarante. Donc bientôt cinquante. Elle mène, par ailleurs, une vie totalement ordinaire, entre son métier aux aspects solitaires, ses tâches ménagères barbantes, ses deux filles qui grandissent, son (second) mari toujours ronchon, et sa chienne, une adorable petite boule de poils incontinente. Engluée dans son quotidien, Anoushka étouffe et réalise combien le temps passe vite. Ses années d'insouciance sont déjà si loin... Alors, lorsque sa cousine se marie à l'autre bout du pays, c'est avec sa meilleure amie célibataire qu'elle file célébrer l'événement. Au programme, régression totale : fringues d'ados, propos indignes d'une mère de famille, et surtout envie de respirer un peu. Mais ce mariage va lui réserver bien des surprises. Elle voulait vivre de nouvelles aventures ? Elle va en avoir...
Mon sentiment au sujet de ce roman :
Heu.. Vous voulez que je vous dise franchement ? Je crois que j'aurais mieux fait de m'abstenir... (mais tout le monde n'est pas de mon avis ! “Agnès Abécassis est certainement un des seuls écrivains français dont l’humour peut rivaliser avec celui de ses consoeurs anglo-saxonnes.” (Prima) - C’est absolument génial de chez génial !” (Gérard Collard, le Magazine de la Santé sur France 5) - “Douée d’une vraie plume, Agnès Abécassis signe là son quatrième roman et s’impose comme LA française qui compte dans le monde merveilleux de la chick’ litt.’” (Au féminin.com)
Juste la scène de la piscine, peut-être, que j'ai trouvée réussie (5 pages...).
Si vous le lisez aussi, vous me faites part de votre opinion ?
Morceaux choisis :
" A quel moment exactement me suis-je arrêtée de grandir, et ai-je commencé à vieillir ?"
" Et me voilà aujourd'hui, après toutes ces années à m'interroger sur quelle vie exaltante serait la mienne, en train de consacrer l'intégralité de mes facultés intellectuelles à trancher entre : attaquer le repassage tout de suite, ou lancer d'abord une lessive".
" De toutes façons, tout le monde a l'air grotesque, chez le coiffeur. C'est ça qui est bien. ça rend solidaire."
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