...c'est pas encourageant
La pâte fimo est de plus en plus difficile à travailler !
Soit elle est tellement molle et collante que l'on n'en tire rien,
soit elle est trop sèche et se transforme, comme ici, en paillettes dès qu'on la passe dans la machine.
Une heure pour préparer un pain de pâte translucide,
n'est-ce pas excessif ?
Enfin, j'aurai eu le dernier mot dans cette histoire (non mais !)
et pour faire quoi, vous croyez ?
Des (micro) tesselles, bien sûr !!!
La morale de cette histoire :
est que ce n'est plus de la motivation qu'il faut, ici,
mais bien de l'obstination !
(...et pas si sûre que cela m'amuse longtemps !!!)
réveil
dernière lecture : tu es une rivière
de Chi Li
Présentation de l'éditeur :
A trente ans, Lala devient veuve avec sept enfants à élever et un huitième bientôt à naître. Son obsession dorénavant va être de trouver de l’argent pour nourrir ses enfants. Elle accumule les petits boulots. Mais les temps sont difficiles dans la Chine des années soixante. Après le désastre économique du Grand Bond en avant, les chinois meurent de faim. Bientôt ils voient arriver la Révolution Culturelle. Lala vit dans une petite ville de la campagne et ne se sent pas trop concernée par tous ces bouleversements politiques. Elle n’a pas le temps, surtout qu’elle refuse de se remarier pour garder sa liberté. Et pourtant, les évènements politiques vont avoir une grande influence sur la vie de toute la famille.
Mon sentiment au sujet de ce roman :
Après "Balzac et la petite tailleuse chinoise", magnifique récit, je poursuis, quasi sonnée, la "découverte" d'une Chine pour ainsi dire contemporaine.
Ce récit, nettement moins poétique que celui de la petite tailleuse, se déroule lui aussi entre 1964 et 1989, dans un village rural, en Chine. Il y est à nouveau question de la Révolution culturelle, dans le monde brutal de la campagne profonde.
Et pourtant, des moments de bonheur, parfois.
J'ai beaucoup aimé l'écriture, le ton, l'histoire.
Et puis admettre que je découvre là un univers, une façon de vivre tellement méconnus...
...Parmi "mes" auteurs chinois, je vous encourage aussi à lire "la joueuse de go", un de mes romans préférés...
ça va (re)venir...
mon dernier jeu de construction en polymère
(encore en chantier...)
avec quelques tesselles plus en détail :
Le miroir fini est visible ici.
Cette création est encore visible en boutique.
N'hésitez pas à me contacter
dernière lecture : la petite dame dans la grande maison
de Jack London
Présentation de l'éditeur :
L'Amérique bien-pensante de 1916 hurla au scandale quand London publia "La Petite Dame dans la Grande Maison" : évocation d'un amour libéré des entraves ordinaires (un ménage à trois), mais surtout, entre les lignes, véritable manifeste en faveur du libre choix amoureux que la société si longtemps refusa à la femme. Un London étrangement féministe. Une histoire à la fois violente et touchante, qui n'est pas sans annoncer celle de Jules et Jim.
Le portrait de Paula, la "Petite Dame" est le plus beau portrait de femme que London nous ait donné à lire. Le récit d'un amour libéré de la morale ordinaire, un ménage à trois, mais aussi un manifeste en faveur du libre choix amoureux si longtemps refusé aux femmes .
Mon sentiment au sujet de ce roman :
Un lien qui en parle mieux que je ne saurais le faire... Et qui colle assez bien avec mon sentiment : c'est par ici.
C'est véritablement là un beau roman, pourtant à mon avis assez difficile à mener à son terme. Mais quel dommage ce serait de ne pas aller jusqu'au bout, puisque la fin y est un véritable aboutissement.
Et puis, ce plaisir des descriptions avec les chevaux, qui m'a souvent fait penser à "mon amie Flicka",
beaucoup de liberté et de grands espaces : on y respire
...et pourtant l'on étouffe.
Morceau choisi :
Il n'est rien qu'on ne résolve. Tout est dans le mouvement. Ce qui ne bouge pas meurt, et nous ne sommes pas morts, n'est-ce pas ?