vivre, passionnément !
ici et maintenant...
bon-bon...
je veux des mots bleus.
Big blue(s),
ou, en d'autres termes :
...ça va comme un lundi !
Le grand bleu visionné pour la première fois par Mathilde et Morgane :
"Mouais..."
Vous vous rendez compte, c'est tout ce qu'elles ont trouvé à dire : "...Mouais".
ça m'a scotchée !!!
Puis du bleu dans la version "nageur" pour leur papa... (triathlon d'échirolles), ça caillait un max, même avec deux pulls ! A la mi-mai, l'on pourrait prétendre à autre chose !!!
Et moi, pour rester dans l'ambiance "croisette", j'ai joué au photographe de presse (mais pas sorti le bikini...) !
En guise de réconfort, il y a toujours "les mots bleus". J'adore la version d'Alain Bashung,
Vous l'écoutez avec moi ? C'est par là...
bella...
Elle fût ce jour-là, la plus remarquée,
...et par dessus tout la plus jolie...
La parure complète est visible ici.
Photos publiées avec l'autorisation d'Amandine et de Sébastien
...Merci
tour de passe-passe...
Une petite cane par ci,
un mélange de couleurs par là,
un tour de passe-passe, sans oublier la formule magique
...c'est tout cela, l'univers merveilleux de la polymère !!!
Collier tout polymère (et huile de coude...)
à partir d'une cane complexe,
dont le principal "ingrédient" reste cette cane-ci (clic)
(...et oui, "encore" !)
Sinon, une autre vue ici
dernière lecture : Balzac et la petite tailleuse chinoise
de Dai Sijie
Présentation de l'éditeur :
Nous nous approchâmes de la valise. Elle était ficelée par une grosse corde de paille tressée, nouée en croix. Nous la débarrassâmes de ses liens, et l'ouvrîmes silencieusement. A l'intérieur, des piles de livres s'illuminèrent sous notre torche électrique; les grands écrivains occidentaux nous accueillirent à bras ouverts: à leur tête, se tenait notre vieil ami Balzac, avec cinq ou six romans, suivi de Victor Hugo, Stendhal, Dumas, Flaubert, Baudelaire, Romain Rolland, Rousseau, Tolstoï, Gogol, Dostoïevski, et quelques Anglais : Dickens, Kipling, Emily Brontë... - Quel éblouissement ! - Il referma la valise et, posant une main dessus, comme un chrétien prêtant serment, il me déclara : Avec ces livres, je vais transformer la Petite Tailleuse. Elle ne sera plus jamais une simple montagnarde.' Dans les années 70, deux jeunes Chinois citadins et lettrés sont envoyés à la montagne du 'phénix du ciel' pour être 'rééduqués' par des paysans. Dans un village proche de leur rizière, une jeune tailleuse cache un fabuleux trésor interdit...
Mon sentiment au sujet de ce roman :
C'est un livre qui figurait sur la liste de ceux à acheter pour la rentrée de seconde, en français.
Il était encore dans son emballage, et je m'ennuyais dans la salle d'attente, chez le dentiste. Je l'ai ouvert...
Et alors, je me suis littéralement laissée emporter par ce magnifique et dérangeant récit, qui ressemblerait presque à un conte, avec une description de la chine des années 70 telle que l'on a tant de mal à concevoir dans nos pays démocratiques..., mais aussi une belle histoire d'amour et finalement de liberté, de splendides descriptions, des personnages auxquels on s'attache profondément.
Si vous n'en avez qu'un à lire, choisissez vite celui-ci !!!
Morceaux choisis :
Pour moi, le livre rêvé : une fois que vous l'aviez fini, ni votre sacrée vie, ni votre sacré monde n'étaient plus les mêmes qu'avant.
Avant d'être enfermé, mon père disait souvent qu'on ne pouvait pas apprendre à danser à quelqu'un. Il avait raison : c'est la même chose pour faire des plongeons ou écrire des poèmes, on doit les découvrir tout seul. Il y a des gens que vous pouvez entraîner toute la vie, ils ressembleront toujours à un roc quand ils se jettent dans l'air, ils ne pourront jamais faire une chute comme un fruit qui s'envole.