Fuyez !

Mais si vous voulez une belle expérience gustative,
Tentez...

La morue a très mauvaise réputation... pourtant, cuisinée en acras, elle change de tonalité, et réjouit le plus souvent les convives. Pour 4 personnes : 150 g de filets de morue dessalée (s'en occuper le matin pour le soir...) - 250 g de farine - 25 cl de bière blonde - 1 botte de ciboules, ou, à défaut, 2-3 oignons - 1 petit piment fort - de l'huile pour la friture. passer les filets de morue au mixer - hacher les ciboules (oignons) et le piment au mixer - mélanger morue, ciboules et farine (au mixer aussi, puisqu'on y est...) - délayer avec la bière pour obtenir une pâte épaisse - laisser reposer environ 2 heures - faire tomber par petites quantité la pâte dans l'huile de friture bien chaude (les acras ne doivent pas se toucher) - les sortir dès qu'ils sont bien dorés, et les égoutter sur du papier absorbant - les servir chauds ou tièdes.

Si vous en avez fait un peu plus que prévu, les acras se congèlent très bien. Passés ensuite quelques instants au four pour les réchauffer, ils retrouvent leur croustillant et seront un régal à l'apéritif.

Les acras sont une spécialité, en Martinique : le plus souvent à base de crevettes, et bien pimentés !

Photo printemps 2002

Une sonorité de fond sur ce blog...
voilà quelque chose de nouveau,
mais cela est-il à votre goût ?
Je compte absolument sur vous pour me donner votre avis (*)

Evidemment,
j'aurais préféré quelques mouettes en prime...
mais je ne les ai pas trouvées...
alors je les ai dessinées
...en pâte fimo,
évidemment !


Porte-lames en pâte polymère, coquillages et perles de rocailles
(...y'a même des moules, vous les voyez ?)

(*) Ne fonctionne pas sur Netscape (PC),  ni sur Firefox (Mac)
comme ne fonctionne pas non plus sur netscape la mise à jour du bandeau d'accueil de canalblog.
Des fois, faut pas trop chercher à comprendre... Mais si quelqu'un a une solution, je suis preneuse !

toutes petites tesselles
à suspendre autour du cou,
façon grigri
pas gris
surtout par les temps qui courent...

ou, plus simplement :
comment aborder les techniques de la polymère
sans prendre de très grands risques...



ci-dessus, collier turquoise à trou-trous : tests de textures et de peintures associées, vernis
(futur...) collier or bleu à vagues : résine, textures et association de peintures
collier turquoise fleuri : hidden et strass, poncé et lustré
collier ocre, ci-dessous : technique aladomi, en aplat, avec peinture or très lègère


et comme dirait quelqu'un, voili, voilou, c'est tout !

pour Luce : de l'autre côté de la montagne,
pour moi : juste devant ma porte d'entrée, si je regarde au loin

Le Pas de la Clé à Montaud

collier et boucles d'oreilles coordonnées en pâte polymère

Voici un lieu vraiment surprenant, en Bretagne
où nous sommes passés un peu par hasard, cet été.
  Sous le charme,
je l'avais alors photographié sous toutes les coutures,
Ménéham...

Sous les pinceaux de mon parrain,
cet endroit ne perd rien de son charme...

Voilà...
C'était juste pour vous donner envie de courir à son expo,
au Casino de Roscoff, ce mois d'octobre
 

Un clic sur l'article pour voir en grand.

Retrouvez-le aussi sur son site :
Les huiles de JG

pour musicienne chevronnée
(pas pour moi, donc...)

Collier et boucles d'oreilles résinés
Parure assortie à la bague à chevrons
La technique ici

Je vais mettre mes talons hauts :
ça me remonte le moral...
ça fait sourire les fesses,
et même que des fois
le sourire, il prend l'ascenseur
le long de la colonne vertébrale.
Il remonte jusqu'à la bouche.
C'est incroyable..

Texte de "Les elles" (chant)

Illustration :
"Portrait de Louis XIV"
par Hyacinthe RIGAUD, 1702                       

bons mots interceptés
au hasard d'une conversation :

"Ce qui passe ne revient pas."

ça m'a juste rappellé un "truc",
qu'on nous expliquait au lycée,
et qui disait, je m'en souviens :
"Cueille le jour".
ça avait alors, dans mon esprit, plutôt rapport au temps,
mais, à cette époque-là, qu'est ce que je n'étais pas concernée !

Maintenant que j'y réfléchis,
je sais que c'est aussi ainsi que fonctionne mon imaginaire :
une idée non-appliquée dans la foulée s'évapore si vite...
L'esprit est volatile, vagabond, rebondissant,
comme l'est la non-maîtrise du temps qui s'emballe,
et nous (re)modèle contre notre gré...

Alors vite, vite,
s'appliquer à faire du mieux qu'on peut
tout ce que l'on a dans la tête,
(cela même si l'on a encore tout notre temps !)
et devenir soi-même (oh le joli mot...)
épicurien.

bague tout polymère

« Une mauvaise herbe
est une plante
dont on n'a pas encore
trouvé les vertus. »
[une citation de Ralph Waldo Emerson]